[Jeu] De qui est cet extrait ?

[Saladdin]

Pareil. Aucune idée de ce que cela peut être.

[Tybalt (le retour)]

Une traduction de l'anglais, j'en suis sûr. Mais quoi, je ne sais pas non plus...

[Hermi]

C'est un livre qui m'avait profondément marqué quand je l'avais lu, étant ado, et qui m'est resté longtemps en tête. Mais il n'est sans doute pas si connu que je le croyais, car votre culture livresque dépasse de beaucoup la mienne.

Pour donner un indice supplémentaire, c'est un roman américain écrit en 1965. L'auteur est mort par suicide en 2008.

[lepropre]

Ca ne me dit rien non plus.
 

[Florentbzh]

C'est un livre qui m'avait profondément marqué quand je l'avais lu, étant ado, et qui m'est resté longtemps en tête. Mais il n'est sans doute pas si connu que je le croyais, car votre culture livresque dépasse de beaucoup la mienne.

Pour donner un indice supplémentaire, c'est un roman américain écrit en 1965. L'auteur est mort par suicide en 2008.

Ah, alors c'est Disch.

 

[Hermi]

Oui c'est bien lui, et les extraits sont tirés de son roman Génocides ; un roman d'un pessimisme absolu.

La main à qui veut pour poursuivre le jeu

[Léonard]

A @Florentbzh, non ? Il a trouvé l'auteur et normalement, c'est suffisant.

[Florentbzh]

C'est gentil, mais je passe 

J'aurais plutôt pensé à @Hermi , je n'ai trouvé que parce qu'il a parlé de suicide.

[Léonard]

C'est gentil, mais je passe 

J'aurais plutôt pensé à @Hermi , je n'ai trouvé que parce qu'il a parlé de suicide.

En même temps, c'est Hermi qui a posé la question, il n'avait pas trop de mérite à trouver.
Quelqu'un d'autre relance le jeu ?

[Tgx]

une facile :

Trois fois [il] rêva de la merveilleuse [ville] et trois fois il en fut repoussé alors qu'il s'arrêtait sur la haute terrasse qui la surplombe. De toutes ses murailles, de ses temples, de ses colonnades, de ses ponts de marbre, de toutes ses fontaines et jardins parfumés, de toutes ses larges rues bordées d'arbres délicieux, d'urnes pleines de fleurs et de rangées luisantes de statues d'ivoire la ville étincelait fascinante et dorée, sous le soleil couchant tandis que vers le Nord, sur les pentes abruptes grimpaient des étages de toits rouges et de vieilles mansardes pointues entre lesquels se réfugiaient de petites ruelles caillouteuses où l'herbe avait poussé. Il y avait dans la ville une animation divine, une fanfare de trompettes célestes et un éblouissement de symboles immortels. Le mystère y régnait tout comme les nuages environnent une montagne inexplorée et, à l'instant où suspendant son souffle, [il] en attente se tenait appuyé à la balustrade du parapet il fut envahi par l'angoisse saisissante d'un souvenir, la douleur de choses disparues à demi oublié et le besoin morbide de situer à nouveau ce qui jadis avait été un lieu à la fois important et effrayant.

Edit : recopié à la main, j'espère ne pas avoir fait trop de fautes de frappe...

[Macbesse]

Lovecraft, La quête onirique de Kadath l'inconnue.

[Tgx]

bien vu, à toi la main

[Macbesse]

bien vu, à toi la main

Comme tu l'as dit, elle était facile.

Je relance d'une pas dure :

He never made his move. He’d driven south to an old farm by the Little Manatee and brought the gun out of the trunk and showed her how to strip and load it, then stood by while she chipped in. Never knowing that she had figured he was wired himself, and probably with weapons, like the Weasel, that she couldn’t see. Not knowing how ready she was, if he was false even for an instant, to fling Weasel into his face and claw for the right to remain standing, for that particular instant, on that particular patch of terran mud.

[Florentbzh]

Câblé, Walter J Williams, trahi par Weasel 

[Macbesse]

Câblé, Walter J Williams, trahi par Weasel 

Bien vu !
Mais bon, c'est difficile d'avoir un extrait sans Cowboy ou Sarah.