Raconte moi ta dernière partie... (même celle de demain)

[Zashiki-warashi]

Parfois, c'est à peu près ça, oui.

/Navigation Hazard FTW

[Hudson]

Quant à la dernière partie d'Adventure!, nos détectives, pas toujours très subtils quand on les énerve, ont littéralement stormé la maison d'un riche maître-chanteur new-yorkais en utilisant une bande de mooks et des armes amicalement fournis par Arnold Rothstein. Avec lequel mon perso s'est fort amusée à exposer le portail, puis les Rottweilers de la mort qui nous fonçaient dessus.

J'ai eu une séquence de ce type dans les années 80 à Cthulhu. Voiture bêlier, investigateurs lourdement armés lâchés dans l'hôtel particulier du méchant... Mais les chiens leur ont fait des misères par contre.
Ah, l'intemporalité des actions délires des joueurs, ça fait plaisir à lire

[Merlock]

Parmi les armes se trouvait un petit canon (Merlock vous dira le modèle, moi j'ai oublié).

Ho! Un simple Canon de 37 mm TR 16... le minimum vital, quoi...

Le voici en "dépouillé" sans les roues, ni le bouclier.



Le même, complet avec cache-flammes, roues, lunette de pointage et bouclier.



Une autre vue "en action"




Et n'oubliez pas: "There's no kill, like overkill"!!

Parfois, c'est à peu près ça, oui.

/Navigation Hazard FTW

Tu oublies le fait que tu as donné un nom à ce pauvre Chibi-canon avant de l'abandonner lâchement sur le bord d'une route, mais que fait BB!?!?!

J'ai eu une séquence de ce type dans les années 80 à Cthulhu. Voiture bêlier, investigateurs lourdement armés lâchés dans l'hôtel particulier du méchant... Mais les chiens leur ont fait des misères par contre.
Ah, l'intemporalité des actions délires des joueurs, ça fait plaisir à lire

Si ça se trouve c'était le même scénar'...

[Zashiki-warashi]

Ah, Seymour... tu fus mon premier canon... (Oui, parce que mon perso donne des noms à ses objets. Dont la draisine Caroline, devenue par la suite zombie!Caroline, d'ailleurs, quand elle a cessé de fonctionner.)

Nouveaux développements dans ma Chronique un peu spéciale de Mage:
- Les PJs ont rencontré une version alternative de Sherlock Holmes, commandant de la milice spéciale de la Ligne de Défense de Chelsea. Ligne de défense qui, entre autres, mine ses rues afin de se défendre, boit un ersatz de café amoureusement surnommé "la Vidange". Et dont le médecin-chef se nomme Mary Watson.
- Ils ont aussi fait un petit voyage onirique, afin de s'assurer que le gars chargé de faire le lien entre le monde parallèle et leur monde était toujours bien là. Sauf qu'il est là depuis cinq jours, et que donc, apparemment, son corps physique ne s'est pas réveillé depuis. Vous croyez qu'il peut tenir combien de temps encore?
- Voyage onirique au cours duquel, pour maintenir la "porte" ouverte, ils ont renforcé la chose avec: un bon feu bien chaud, un champ de pâquerettes, et une statue de 10m de haut de Charles Amberville en kilt et peintures de chef de clan écossais, montrant la voie vers la sortie.
- Discussion entre le PJ Charles Amberville et son double local et (psychopathe) Lady Charlotte Amberville. Avec à la clé un "pacte" entre les deux: elle l'aide à récupérer plein d'infos techniques qui, dans le monde des PJs, ne seront pas découvertes avant les années 1920-1930, et en échange, ils se partagent le monde... pardon, ils la font passer avec eux, pour qu'elle aille s'amuser un peu dans "leur" Londres, voire avec "leurs" Etats-Unis et autres. (A voir comment ça va se développer. Charlotte est une pure Wild Card improvisée un soir de beuverie peu après Nouvel An, que le MJ, c'est-à-dire moi, a flanqué dans tout ce bazar juste pour voir ce que ça pouvait donner. Bref, je ne sais pas moi-même si elle deviendra une némésis... ou un allié potentiel... ou autre... En tous cas, ce qui est sûr, c'est que elle et Charles n'auront pas trop intérêt à traîner ensemble, sinon la Réalité va leur maraver la gueule tôt ou tard.)

Suite peut-être aujourd'hui, avec les PJs qui vont devoir gentiment expliquer au capitaine Clarick que les deux otages qu'ils devaient délivrer pour lui ont été, l'une enlevée à leur nez et à leur barbe, l'autre tellement poutrée par l'ennemi qu'elle en a fait une fausse couche. Y en a qui vont bientôt se pisser dessus de peur.

Et le mot d'ordre de la dernière séance était:
Floyd Alexander: — Mais voyons, Amberville, reprenez-vous!
Charles Amberville: — Comment ça, Amberville? Il n'y a plus d'Amberville. Il n'y a que Zuul!"

[Zashiki-warashi]

Comme finalement, on a joué à Adventure!... voici le résumé des deux parties les plus récentes:

Fin juin 1920. Nos PJs détectives privés (Amelia, Emmeline et Angus) ont été contactés par le Pr. Henry Jones, Sr. et son collègue Marcus Brody de l'université de Boston pour enquêter sur un trafic de faux lié à l'AAA (association des amateurs d'archéologie, sponsorisée par un certain nombre de riches mécènes). Après avoir rencontré les mécènes en question, les PJs s'embarquent sur un paquebot de la White Star (en compagnie d'une grosse pile de bouquins d'archéo!) pour Londres, où se trouve le siège principal de l'AAA, et où sont réceptionnés les objets trouvés lors des fouilles sur les différents sites. Déjà, les choses ont mal commencé: dès le deuxième jour de voyage, un porte-flingue tire sur Angus dans le couloir, et refuse de révéler qui l'a engagé (mais il avait été très grassement payé). Suite à cela, le capitaine, pour dédommager les PJs, leur donne une suite en première classe sur le paquebot. Le cinquième jour, au restaurant, une tentative d'empoisonnement se solde par la mort d'un malheureux PNJ, tandis que l'empoisonneur (un vieux docteur bien connu parmi les pros) est rattrapé et finalement abattu par les PJs. PJs consignés sous bonne garde dans leur cabine par le capitaine qui commence déjà à en avoir marre. Durant cette deuxième semaine de voyage, une passagère ressemblant très fortement à Amelia est attaquée par un Espagnol adepte du couteau de lancer. Puis un marin se présente, disant qu'il est envoyé par le capitaine qui veut poser des questions aux PJs... un par un; bien évidemment, les PJs flairent le piège et refusent de le suivre. Bien leur en prend, car l'homme était un ancien lutteur reconverti en étrangleur, qui avait tué un des marins à bord pour lui voler son uniforme...

Les PJs débarquent enfin à Liverpool, où ils sont interrogés par la police locale qui exige qu'ils restent à leur disposition quelques jours. Ne désirant pas perdre de temps, Emmeline contacte alors M. Piker, dont le petit-fils William était présent lors de l'entrevue à Boston, représentant les intérêts d'un Lord anglais, Charles Amberville. Piker senior vient en personne de Londres pour tirer l'affaire au clair, et les PJs repartent avec lui. Sur place, ils se rendent au siège de l'AAA sur St Katharine Docks pour y procéder, en compagnie du professeur Alistair McPherman, à l'expertise d'une quinzaine de caisses arrivées des différents sites de fouilles. Emmeline (lectrice assidue + Instant Expert, avouons-le) parvient à mettre à jour quelque irrégularités, qui sont pour certaines tirées au clair. Les deux qui restent sont des plus intrigantes: en effet, le professeur Delattre du Louvres, censé diriger ces fouilles-là... ne travaille pas au Louvre. Quant à l'autre, il s'agit d'objets phéniciens retrouvés sur un site grec, alors que le site phénicien ne donnait comme par hasard aucun résultat valable.

(Note: ici commence la deuxième séance de jeu. Le joueur d'Angus n'était pas présent, ce qui explique la passivité du personnage.)

Cette première piste mise à jour, les PJs se reposent tout de même un peu (ils viennent de passer cinq jours à inventorier tout ça). Emmeline et Amelia en profitent pour aller faire du shopping sur le Strand, chez un tailleur de renom. En sortant, elles aperçoivent une cammionette de blanchisserie fort louche, et dont le chauffeur, qui essayait de faire redémarrer le moteur, semble fort paniqué en les voyant. Du coup, ses trois copains bien armés qui sentent fort la pègre du cru sortent du fourgon... et se font promptement allumer par les deux femmes. Direction la constabulary du coin pour une déposition, agrémentée de la présence de Piker qui commence un peu à avoir l'habitude, et parvient à faire passer cela pour de la légitime défense (notons que suite aux premières tentatives d'assassinat, il avait aussi obtenu un permis de port d'armes pour les PJs). Les malfrats, eux, ne parlent pas, mais on dirait bien qu'eux aussi ont été grassement payés...

En soirée, Amelia et Emmeline se rendent chez M. George, membre de l'AAA, qui les avait invitées le matin même pour discuter. A l'issue du repas, il leur montre un curieux parchemin en grec très ancien, dont Emmeline ne parvient à déchiffrer que quelques bribes, ressemblant à une sorte de malédiction au sujet d'un "dévoreur". Ce parchemin lui a été transmis par un ami journaliste, qu'il leur fera rencontrer le lendemain soir, et avait à l'origine été envoyé à un autre membre de l'AAA. En tous cas, comme le soupçonnaient les deux hommes, le parchemin est bien un faux.

Le lendemain matin, Amelia et Emmeline se rendent au British Museum pour y voir les collections les plus anciennes et en savoir plus sur le sujet en cours (rappelons qu'elles sont détectives et pas archéologues, hein). En entrant dans une salle d'exposition, elles réalisent soudain la présence de cinq hommes armés; hélas, ceux-ci les remarquent avant qu'elles n'aient pu tourner les talons (merci, Dramatic Entrance!). Prises en tenaille par ces hommes et par leurs quatre copains qui arrivent de l'autre côté du couloir, elles plongent dans un couloir perpendiculaire (du coup, les types se tirent dessus mutuellement, et deux y passent ). S'ensuit une bonne vieille fusillade, durant laquelle Emmeline est touchée légèrement, mais non sans que les sept porte-flingues ne restent sur le carreau: c'est qu'il fallait leur faire payer d'avoir dézingué les mosaïques romaines sur les murs, non mais! La sécurité du musée arrive alors sur les lieux. Tandis qu'Emmeline est emmenée à l'hôpital el plus proche, Amelia se retrouve une fois de plus au poste, face à l'inspecteur Carlson, chargé de l'enquête. Et une fois de plus aussi, c'est le vieux Piker qui leur tient lieu d'avocat-conseil, et qui paye au passage la caution d'Angus (bah oui, les flics étaient venus l'interroger à l'hôtel, il n'a pas apprécié, et il leur a cassé la figure...). Amelia est toutefois aussi interrogée quant à George: en effet, celui-ci à été retrouvé mort vers les 2h du matin, déchiqueté par ce qui semble être un gros animal?...

Pendant ce temps, à l'hôpital, Emmeline a été soignée, mais a catégoriquement refusé de se séparer de son arme. Elle se repose dans sa chambre, lorsqu'elle perçoit la présence d'un intrus déguisé en infirmier, portant des gants, et faisant tout pour ne pas se faire remarquer. Un poil dans le gaz et vraiment agacée par ces tentatives d'assassinat répétées, elle se contente cette fois de sortir son flingue et de lui tirer dans le bide avant d'appeler l'infirmière. Sur ces entrefaites arrivent Amelia et Angus, suivis bientôt par Piker et par Lord Amberville en personne, qui désirait parler aux PJs. On apprend là que l'intrus était en fait Jameson, le journaliste qui avait remis le parchemin à M. George... Oups? Heureusement, ses jours ne sont pas en danger, bien qu'il doive rester un sacré bout de temps à l'hôpital maintenant (NDEmmeline: il avait qu'à toquer à la porte avant, ce con). Amberville leur révèle que le parchemin lui avait été à l'origine adressé, ainsi que la présence, dans le jardin de George, d'une sorte de "taupinière" géante émettant une odeur nauséabonde, que la police n'avait pas encore inspectée. Il leur remet également le carnet de notes du journaliste, qui mentionne un certain Randolph Briggs. La possibilité d'une malédiction est soulevée, qui tuerait la dernière personne à avoir touché le parchemin. Plus tard, Carlson se présente, la queue entre les jambes: Lord Amberville lui a en effet donné l'ordre de mettre le dossier de police à la disposition des PJs pour une enquête conjointe.

Le lendemain matin, grâce à Carlson, Amelia apprend que Briggs était un ancien membre de l'AAA, arrêté pour coups et blessures en vue de tuer, et interné à l'asile pour folie. Il en est sorti il y a trois mois, et a depuis disparu. Emmeline pouvant sortir de l'hôpital, elles vont voir McPherman pour lui poser des questions au sujet de Briggs. Briggs trempait dans un trafic de faux, mis à jour par Jameson, et le conseil d'administration de l'AAA (dont faisait justement partie Amberville) l'avait donc mis à la porte en 1914. Cherchant à se venger, il avait attaqué deux de ses membres, et c'était ce même conseil qui, pour éviter le scandale, avait plaidé la folie pour lui. Les PJs se promettent d'aller examiner l'ancienne demeure de Briggs à Wimbledon. Mais avant cela, il leur faut se rendre à l'a soirée donnée dans le Hampshire par l'un des membres du conseil d'administration, qui désire visiblement "promener" devant l'assembler ces jeunes et brillants détectives. De plus, par le journal, ils apprennent aussi que la fille d'un des membres du CA (mort il y a six mois) vient d'être retrouvée morte, dans les même conditions que George. Là aussi, un parchemin a été retrouvé sur les lieux!

Le soir même, Emmeline et Amelia se mêlent aux invités, tandis qu'Angus, comme à son habitude, fait de même avec le petit personnel. Quelques personnes semblent sortir du lot. Tout d'abord Lord Amberville, venu avec son épouse Lady Ada... qui porte gentiment un Colt .45 sous son boléro, et avec qui les deux femmes échangent des "politesses d'usage" et autres appréciations à mots couverts, puisque elles aussi sont armées. Parmi les extras embauchés pour la soirée, une jeune Chinoise, dont le sourire est exactement le même que celui d'Amberville, et dont les vêtements tiendraient sans doute debout tout seuls, tant y sont dissimulées des armes. Amelia se fait également "draguer" pour la forme par Percy et Archie, deux jeunes gens très British mais qui eux aussi sont bien barbés par l'interminable discours du maître de maison. (On assiste d'ailleurs à une épique ruée sur le buffet à l'issue dudit discours, où Percy, Archie, Emmeline et Amelia s'emparent avec brio de champagne et de canapés au nez et à la barbe de tout le monde... ) Peu de temps après, elles sont présentées à un autre membre du conseil d'administration, qui, sincèrement intrigué, leur montre alors un parchemin en tous points semblable à ceux des deux morts... parchemin qu'Amelia touche malheureusement.

A ce moment, le sol se met à trembler, et laisse sortir un gigantesque ver à la gueule hérissée de dents, qui se jette immédiatement sur Amelia. L'assemblée est pour la plupart paralysée de terreur, mais les PJs, qui s'attendaient un peu à quelque chose, avouons-le, sortent leurs armes et l'allument. Les balles d'Amelia ne lui font hélas rien. Par contre, Emmeline, qui avait aussi emmenée un petit Derringer avec quelques balles explosives, se rend compte que cela fait tout de même quelques dégâts. (Le Derringer vient du précédent scénario; les balles sont en fait creuses, et contiennent de l'eau bénite, mise là par un PNJ vaguement allié... et possédant la Vraie Foi.) Les PJs renversent au passage une table pour se mettre à l'abri, et Emmeline commence à prépare un pseudo cocktail Molotov avec du whisky pris au passage au buffet. Elle comprend aussi que la créature n'a pas de système nerveux centralisé, et que du coup les balles normales ne sont pas très utiles. Amelia saisit alors l'une des épées accrochées au mur, en espérant que cela fasse plus de dégâts — imitée en cela par Percy et Archie, fort braves. Amelia voit aussi passer, lancés adroitement par la Chinoise, une série de papiers qui, touchant la chose, enflamment ses blessures d'un feu vert. Tout ce petit monde s'acharne sur la bête, achevée finalement par le cocktail explosif d'Emmeline et par les coups de claymore d'Amelia. Hélas, le sol tremble de nouveau: un nouveau ver surgit, visant cette fois le propriétaire des lieux... on dirait bien que lui aussi avait reçu un parchemin! Amelia se jette sur le monstre avec son épée, tandis qu'Emmeline tire à nouveau au Derringer, toutes deux causant des dommages. Le ver est alors gentiment achevé par sept balles explosives au phosophore, élégamment tirées par Ada Amberville.

Fort heureusement, il n'y a pas de troisième créature. La séance s'achève donc sur les visages choqués de terreur des invités... ainsi que sur une Emmeline aux yeux brillants d'excitation qui demande à Lady Ada de lui apprendre à faire des balles comme les siennes.

(Je précise quand même:
- Charles Amberville est l'un des PJs de ma campagne de Mage. Ici, bien sûr, il est un PNJ.
- Lady Ada Amberville, née Wellesley, est un PNJ mage à l'origine lui aussi présent dans ma propre campagne. Elle vient d'un univers parallèle où elle a servi dans les troupes armées, ce qui explique son état physique plus qu'adapté et ses talents de tireuse... ainsi que ses balles au Prime, faut avouer. XD
- La Chinoise, elle, est en fait Xue, la fille illégitime que Charles a eue d'une prostituée Chinoise dans la fumerie d'opium de M. Ming. Et oui, c'est arrivé dans ma campagne aussi.
Je vous ai déjà dit qu'on aimait bien les caméos, chez nous?

[Emöjk Martinssøn]

Toujours un plaisir de lire tes CR !
Tu devrais ouvrir un sujet dans la section idoine, pour qu'ils ne se perdent pas...

[Merlock]

Toujours un plaisir de lire tes CR !
Tu devrais ouvrir un sujet dans la section idoine, pour qu'ils ne se perdent pas...

Je confirme: superbe! Tu me mâches le travail, je fais un copier-coller et je garde ça pour la mise en forme ultérieure...

Vous ai-je dit que c'était moi le MJ de ces deux folles ?

M'enfin quoi: une fusillade au British Museum, je ne pouvais PAS ne pas caser ça dans un scénario Adventure! basé sur un mystère dominé par l'archéologie, avouez...

Et, oui, Charles Amberville est bien mon perso dans la campagne Mage 1880 maîtrisée par Zashiki-warashi

[Zashiki-warashi]

Je veux bien faire un fil dédié, mais comme ce n'est pas toujours moi qui fais les CR, faudrait qu'on s'organise.

Ceci dit, je vais peut-être vous épargner mes CR de Mage, parce que vu leur longueur, ça vaut peut-être mieux d'aller sur notre site web directement, hein.

[Merlock]

Je veux bien faire un fil dédié, mais comme ce n'est pas toujours moi qui fais les CR, faudrait qu'on s'organise.

Ouaip! Normalement, c'est moi qui fais les CR et là je suis en retard de pas moins de 3 scénarii...

Ceci dit, je vais peut-être vous épargner mes CR de Mage, parce que vu leur longueur, ça vaut peut-être mieux d'aller sur notre site web directement, hein.

Ouaip! Viendez sur le site et consultez notre bêtisier...

-"Tout va bien Amberville ?"
-"Il n'y a plus d'Amberville, il n'y a que Zuul..."

[Merlock]

Ou bien faites, sur ce forum une recherche sur les thèmes "Amberville + kilt"... ou juste "kilt"

[lordsamael]

l'url de votre site c'est ?

[Merlock]

http://shadow-nexus.paradygma.com/

[Zashiki-warashi]

Et moi aussi j'y suis d'ailleurs en retard en ce qui concerne les CR... Gloups. Heureusement que je prends des notes très détaillées pendant les parties!

[Udo Femi]

Finalement, on a réussi à réunir à l'arrache quelques lyonnais et des gens de passage pour s'organiser un Burning Empires ce soir. On va jouer le scénario démo "Fires over Omac"
J'ai un peu le trac, pourvu que la sauce prenne. C'est la première fois que je maîtrise BE by the book et c'est le jeu le plus participatif auquel j'aurais fait jouer (économie de scène, impro totale en partant des BITs des PJ et PNJ, explication de nouveaux concepts de jeu, etc...) et il n'y a pas de scénar fil rouge comme dans MG auquel se raccrocher.


base jumping !!!

[KamiSeiTo]

J'ai hâte, on arrive...