
La prochaine fois tu t'arranges pour que l'embuscade ait des informations utiles à donner (qu'ils pourront avoir par ailleurs ou qui sont facultatives mais apportant un plus). Quand tu distribues les xp, tu annonces clairement :childeric maximus a écrit :Pas faux !Blakkrall a écrit :Non, c'est papa qui montre comment on faitUdo Femi a écrit :Ils sont toujours à vouloir achever l'ennemi d'une manière ou d'une autre. C'est l'âge, sans doute
Mais, bizarrement, ils ont bien pigé le trucs des XP.
Il faut que je leur explique (encore) que vaincre un ennemi ne signifie pas l'achever.
- avoir vaincu les méchants : n points
- leur avoir soutiré les infos : ah ben non, vous avez pas fait, pas d'bras, pas d'chocolat

Normalement ils devraient vite se mettre à la torture ce qui ne sera guère mieux. Colle leur dans la foulée un épithète : "Destroyer le bourreau" par exemple. Quand il passe les braves gens murmurent sur son partage et se détournent. Dans une bataille qu'un vilain le reconnaisse et crie à ses alliés "c'est l'bourreau, vous faites pas prendre vivants les gars !" ce qui les galvanisera avec baston jusqu'au boutiste, que les pj en chient plus et que ce soit clairement leur faute, que leurs alliés leur semble en garder rancune.
Là t'introduit un pnj genre blanc chevalier errant si possible pas plus balèze que les pj voir moins. Grosse baston au côté des pj qui doivent se faire capturer. Quand ils sont conscients, que les vilains discutent ouvertement des sévices à infliger à leurs infâmes prisonniers avant de les exécuter. Faut que les joueurs soient persuadés qu'il y a tirage de perso dans l'air. Et là tu fais intervenir un brigand qui reconnait le chevalier : "Hé, mais c'est machin le Magnanime ! Il m'a accordé grâce une fois. J'lui doit une vie. T'es libre mon gars". Chevalier "Je ne puis abandonner mes compagnons". Grosse discussion entre les vilains visiblement tiraillés entre accèder à la requête du chevalier qu'ils respectent ou de ces enflures de pj à la sinistre réputation. Au final il libère tout le monde, le chevalier avec arme et armure (mais sans sa bourse), les autres en pagne sous la pluie. Et enfonce le clou en leur faisant bien honte quand ils arriveront au village.
Après c'est quitte ou double : soit ils sombreront dans l'infamie la plus totale par réaction, soit ils auront compris que faire preuve de clémence leur donne bonne réputation (pourquoi pas l'équivalent de point d'héroïsme selon leur renommée ?) et peut s'avérer payant.