[CR] Buffy RPG: épisode 2.06 Apocalypse Now

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Hicksou
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J'espère que je vais pas me faire renier du Jyhad Buffyverse

Message par Hicksou »

Merci à mes joueurs!

Soirée de ouf hier avec tranches de rires en continue!

On a eu un guest du feu de dieu (membre du forum, saurez vous le reconnaitre?) avec une sacrée repartie et roleplay qui a bien contribué à l'ambiance de la soirée.

Les joueurs habituels sont toujours des boss comme d'habitude :yes: sachant gérer la mission avec leur petite vie. Ils ont un background solide et j'avoue que c'est la prmeière campagne que je fait ou j'ai vraiment l'impression que les personnages sont vivants pendant la partie!

Tout le monde était en forme et une vraie alchimie. Quand le groupe était divisé en deux parties. Je m'occupais de deux joueurs et pendant ce temps les trois autres roleplayaient dans leur coin ensemble et inversement. j'avoue que ça fait vraiment plaisir :bierre:

Merci aussi à notre hotesse qui nous a très bien accueilli. Ca a beaucoup aidé à l'ambiance d'avoir une pièce plus spacieuse et plus aérée que d'habitude (je vais réaranger ma salle à manger ce week end, promis, fini les fils par terre dans tous les sens!)

Et dernier merci: A Rika qui me voyant à la bourre sur mon scenar sur le forum m'a présenté un scenar tout prêt 1 heure après! Bon j'avoue qu'à force d'incorporer des éléments de background pour mes persos, le scenario a pas mal changé et il ne reste que la base. Mais il repose sur l'idée de base de Rika et s'il le veut bien, je posterais bien son scenar sur le thread, comme ça d'autres MJ à buffy pourront le repiquer. Il en vaut le coup! :yes:

Bientôt le CR et je compte sur mes joueurs pour l'affiner! Je vous ai à l'oeil!
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Hicksou
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Message par Hicksou »

Hey Si quelqu'un pouvait préparer un montage du "familier", ça serait super cool!
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Mickey
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Re: J'espère que je vais pas me faire renier du Jyhad Buffyv

Message par Mickey »

Hicksou a écrit : Et dernier merci: A Rika [...]
d'autres MJ à buffy pourront le repiquer. Il en vaut le coup! :yes:
:oops:
De rien, de rien.
Si vous vous êtes amusé, c'est génial.
Hicksou a écrit : s'il le veut bien, je posterais bien son scenar sur le thread, comme ça
Pas de problème pour moi, mais je préviens, c'est juste un jet d'une idée à peine développée, hein, pas un truc clé en main.

Par contre, je lirai le CR avec grande attention pour voir ce que ca a donné.
"L'Homme avance la tête en l'air, et finit par marcher dans la merde"
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Hicksou
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Message par Hicksou »

Ok je poste ton jet de scenar alors ;)

Par contre tu vas être étonné par le CR car il est vraiment très éloigné du scenar...

Doc je reprécise, ci dessous, c'est l'aimable idée de Rika qui pourra faire un bon scenar pour un MJ en mal d'idées.
Je ferais le CR de notre partie surement lundi...

Il n'y a aucun spoiler dans l'idée de scenar de Rika, car je n'ai pas utilisé ses big bads! Donc toi ami lecteur anti spoiler tu peux lire peinard ce scenar !
Rika a écrit :L'idée est de faire un épisode de noël, car dans toute bonne série, il y A un épisode de noel dégoulinant de bons sentiments, comme il y a un épisode d'halloween.

Bref, l'idée serait de venir en aide au Père noel, qui doit faire face à un complot chez les lutins à cause d'un directeur de Toys'R'Us (doit bien en avoir un sur les Champs Elysée non?) au bord du dépôt de bilan et du suicide.
Donc ce directeur, passionné de jouet et ancien occultiste à ses heures perdus a trouvé un sortilège pour enchanter les fabricants de jouets: les lutins!

1ère scène: éliminer la concurrence.
Ça peut donner lieu à l'intro du scénar: la petite équipe, prit dans ses enquêtes, n'a pas eu le temps de faire ses courses de noel et fonce dans un magasin de jouet bon marché.
Là, peut avant la fermeture, des accidents étranges arrivent (petites électrocutions en prenant des poupées électroniques; des soldats de plombs font tomber des billes par terre et la grosse dame de devant chute et se casse le col du fémur; etc). Du coup, légère panique.
On peut même imaginer l'ambiance plus étrange, pour pousser le Scouby Gang a se laisser enfermer dans le magasin et vivre ça plus en huit-clos.
Quoi qu'il en soit, ils devraient comprendre que les jouets sont étranges.

L'observateur peut entendre parler de la généralisation de ses attaquent bizarre dans quasi tout les magasin de jouets de Paris. Mais pas le T'R'U des Champs Elysées. D'ailleurs, dans leur petite enquête, ils en entendent parler au milieu des infos (fournir un extrait d'un journal plein de zolies infos de noel) car c'est le 1er magasin de jouet à rester ouvert toute la nuit, pour les parents retardataires. Y'a d'ailleurs une interview du gérant: M. TOUTEFRAD.

2ème scène: la fausse piste
Dans leur première petite enquête, on peut y glisser une fausse piste évidente: la marque des jouets. En effet, les Pjs demanderont certainement les marques des jouets ayant pété les plombs. Là, il faudrait leur en sortir une dizaine, dont une ressortirait fréquemment.
Ça tombe bien, c'est une marque française, fabriqué par loin.
Bref, ils vont dans l'entrepôt et découvre un truc qui n'a absolument rien à voir avec le smilblick. L'idéal serait que malgré le fait que ça n'ait rien à voir, ça apporte un angle qui pourrait aider à éclaircir l'affaire du jour. Là, ça sera vraiment à toi de jouer.
Par exemple, pour moi, ici l'idée c'est que les lutins ne seront pas mauvais, mais possédé, donc il ne faudra pas les détruire un par un mais trouver la raison de leur comportement (l'enchantement), et la faire sauter (tuer/faire fuir le sorcier T'R'U).
Donc en intrigue parallèle, ça pourrait être 3 voyous plutôt bras cassé, en train de braquer l'entrepôt alors que les Pjs sont à proximité/dedans. Bien sur, au départ, leurs comportements auront l'air plus que suspect et les Pjs iront tout seul imaginer que ce sont des vampires ou autres garous démoniaques.
Sur ce, des sirènes se font entendre au loin, et Pjs comme cambrioleur, il faut fuir.
Dans une simili baston où tu aurait laissé les Pjs monter et mettre à bien leur plan, ils devraient comprendre juste avant le coup fatal, que ce ne sont pas de vrai méchant, surtout quand l'un d'eux, en pleur, avouera braquer la voiture télécommandé dont son fils de 3 rêve mais qu'il ne pourra jamais lui offrir vu ça vie bien mélodramatique (la leur raconter bien en détail, évidement).
Ça peut aussi devenir de bons contacts dans le "milieux" pour plus tard (acceptable pour des PJs gentils, vu qu'ils ne sont pas vraiment méchants).

3ème scène: l'enquête est relancée
Les Pjs sont bredouille et vont se coucher, après le repas du réveillon, et ouvriront leurs cadeaux le lendemain matin. Mais avant de s'endormir, un des parents avouera avoir acheter pour la petite sœur/nièce/frère un jouet identique à celui qui a attaqué les Pjs dans le magasin.
Ils faut donc qu'ils le trouvent (fouille des cadeaux la nuit, sans réveiller les parents, mais avec le chat/chien/p'tit frère curieux dans les pattes).
Le jouet est étrangement inerte, bien qu'il semble "différent". "Mauvais" même. Bref, il faut leur donner l'envie de le démonter. Dedans, une carte de noel old-school et un mot disant "aidez nous" suivit d'initiale (disons –au pif- A.M) et d'une adresse.
Trop cool, ça donne sur une zone industrielle/artisanale de Paris.

4ème scène: la confiserie du bonheur
L'adresse mène directement à un entrepôt de confiserie, où les camions viennent charger sans cesse d'immenses palettes. La sécurité est présente, mais comme tout site "humain" (Securitas veille, mais rien d'anormal en soit). Juste que des ados, le soir du réveillon, et à 2h du mat', ça peut poser quelques soucis aux vigiles.
A l'intérieur, on dirait des nains qui s'affèrent à tous les postes, de la production (hum… chocolat!) à l'emballage, en passant par le contrôle ou la dégustation. Bien sur, il s'agit de personnes handicapées. Le chef, lui aussi de petite taille, prés d'un bureau en haut de l'entrepôt, porte des initiales sur sa blouse: "A.M".
En allant le voir et en lui expliquant toute l'histoire, il révèlera sa vrai nature: un être fantastique –proche du gnome- dont le rôle est d'enchanter les confiseries de noel avant d'apaiser els esprits en cette période de fête. Ils sont très organisé et ont une structure par pays, employant principalement les gens les plus défavorisés.
A.M reconnaîtra la lettre de noel où figure ses initiales: c'est le courrier officiel des Agents de Noel. D'ailleurs, il reconnaîtra l'écriture de son cousin, qui bosse à la fabrique de jouet. C'est pas un gnome, lui, mais un lutin. Et ouais, dans les années '70, la libération sexuelle a aussi touchée les races fantastiques et quelques croisement malencontreux ont eux lieux.
Bref, son cousin doit avoir un souci.
A.M ne peut s'en occuper: les livraisons doivent impérativement avoir lieux, mais il peut aider les PJs à le trouver. Il faut trouver l'échoppe du Père LEON, au DROLE PON, à Paris. Là aussi c'est une franchise, tous les pays ont une boutique au même nom, dans la même rue. C'est plus pratique pour les mutations.
Ils reconnaitront son cousin grâce un portait qu'il leur fait en direct live. En fin un portait, plutôt une sculpture. En bonhomme pain-d'épice (comme dans Shrek, et toute bonne série US). Il est très ressemblant soit dit en passant. C'est gnome sont de vrai génie dès qu'ils ont un aliment dans les mains.

5ème scène: la fabrique de jouet
Effectivement, la rue DROLE PON existe (pas en vrai, hein, mais ça serait pas mal de sortir un plan et de retoucher une toute petite impasse avec ce nom, idéalement prêt d'un pont histoire de faire croire que le nom de la rue viens d'une faute d'orthographe sur le mot PONT, alors que c'est simplement l'anagramme de "Père Noel, au Pôle Nord"). Il s'agit d'une rue visiblement antique et oublié de tous, un cul de sac où seul se trouve une petite échoppe qui ne paye pas de mine.
Rentrer dedans sera d'une facilité déconcertante. A première vu, il s'agit simplement d'une vieille boutique de jeux en bois, avec quelques étagères bien remplit et une caisse prés de la porte. Derrière celle-ci, par contre, c'est un autre monde. Littéralement. Comme dans les meilleurs disney (mais en pervertit), on peut voir des lutins en vert dans des amas de chaînes de montages mécaniques, assembler, bidouiller et tester tous les types de jouets existants. L'usine est immense et on en voit pas le fond.
Une chose choquera vite les PJs: les lutins sont tout sauf joyeux. Ils ont l'air épuisé et triste mais surtout, prisonniers. En effet, des ours en peluches et autres soldats de plombs pointent vers eux des fusils à bouchons et autres pistolets à lumières, quand ce n'est pas des coûts de martinets qui leurs tombent sur les flans.
Les esclavagistes sont des jouets, mais ils semblent répondre à un lutin, d'un vert plus profond et au regard mauvais et rouge sang.
Il faudra pour les PJs être discret, mais grâce au portait en pain-d'épice, ils trouveront facilement le lutin. Il travaille sur le même modèle que dans laquelle ils avaient trouvé le message.
Trouver un coin calme pour pouvoir lui parler sera vraiment compliqué, mais donnera un bon challenge aux joueurs.
Le lutin dira ne pas comprendre ce qu'il c'est passé: depuis un mois environ, les lutins-en-chefs (ceux d'un vert profond, et qui ont bizarrement tous les yeux rouges et le regard mauvais) ont changé les ordres. Il a fallut s'adapter en urgence aux nouveaux plans de fabrications. Le pire étant quand les propres créations des lutins ont prit les armes et les ont menacer avec, pour se mettre à la chaîne et produire plus (les oursons et autres soldats de plombs /GI Joe; etc).
Quand les PJs lui apprendront que les jouets sont dangereux, alors celui-ci paniquera ne pouvant admettre de mettre la vie d'enfant en danger. Pour lui, c'est simple, il faut tuer les lutins, même si ça veut dire qu'il ni aura désormais plus de noel!

6ème scène: le dénouement ultime
Là, aux PJs de comprendre que ce n'est pas aussi simple.
Une première chose pourrait les y aider: en fin de chaîne, tous les jouets sont étiqueté exclusivement "Toys'R'us" alors qu'avant, les jouets partaient dans tous les magasins.
Un deuxième éléments pourraient intriguer les joueurs: les lutins-en-chefs parlent régulièrement dans un talki-walki (jouet bien sur), et ça non plus n'est pas normal. Il y a assez de pièces électroniques pour pouvoir bricoler un récepteur et écouter la discussion. Les lutins parlent avec un dénommé "patron" qui leur somme de se dépêcher de livrer, car des parents sont encore dans le magasin. Là, les PJs devraient faire le lien avec le Toys'R'Us des Champs Elysées qui reste ouvert toute la nuit et son patron: M. TOUTEFARD (acronyme obligatoire de Fouettard).

Deux options donc:
• Trouver un moyen pour retrouver le patron et/ou le faire rappliquer. Ca peut être de plusieurs manières comme se laisser enfermer dans une caisse en livraison directe pour le magasin; intervenir au talki pour lui dire que l'usine est à feu et à sang et que c'est le prochain sur la liste; arpenter le dédale de l'usine et trouver enfin un bureau qui donne directement sur le bureau du patron dans le Toys'R'Us (oui c'est magique; mais on a le droit: c'est Noel!); etc.
Là, les Pjs ont l'avantage du nombre et de la surprise. Mais eux aussi auront la surprise quand ils découvriront que le patron est un magicien (j'espère que els règles permettent de gérer ça!). Si ça tourne vite en la faveur des Pjs, les jouets en expos peuvent s'animer et venir envenimer la situation. L'idéal serait que dès les 1er instant, M.Toutefard s'échappe et rejoigne son usine, pour la grande scène finale telle que décrite dans le paragraphe suivant.
Attention toute fois aux parents qui sont dans le magasin et qui ne doivent rien voir de tout cela.
• Prendre d'assaut les lutins-en-chef et leurs sbires: c'est risqué mais le plus logique. Là, prévoir une grande scène en 3D dans ces chaînes de montage gigantesques, et prévoir un catalogue Jouet Club pour toutes les armes improviser (ne pas oublier qu'elles sont prévu pour faire réellement mal).
Ensuite, aller voir le Patron et lui botter les fesses.
Là, la baston finale se passe en 2 temps, ce qui peut être moyen. Il est alors peut être intéressant de faire en sortant qu'un lutin appelle dans un dernier souffle M. Toutefard qui rappliquera dare-dare via son bureau magique. Et on reboucle sur la scène finale comme dans la 1ère option.

Quoi qu'il en soit, arrêter M. Toutefrad rendra inopérant les lutins-en-chef envoûté. Les lutins ont alors quelques heures pour récupérer leurs stocks de jouets valides, appeler le "Grand Chef" et mettre en place une procédure extra-ordinaire de remplacement général.
Au boulot!

7ème scène: Epilogue
Mort de fatigue, chaque Pj rentre chez lui et s'endors profondément, sur un "Oh-Oh-Oh" bien connu. Ils ont sauvé des vies, et Noel.
Sauf que bien entendu, la rue DROLE PON, M. TOUTEFARD et les jouets tueurs n'existent pas. Oh, il y a bien des cas recensé de mal fonctionnement, mais c'est dû aux contrefaçons chinoises, d'ailleurs Pernaud en parle au 13h aujourd'hui.
Donc tout va bien, les Pjs pourront passer à l'ouverture des cadeaux (dont ceux qu'ils se seront inévitablement fait entre eux, et en surprise –à la bourre pendant leur enquête), à la dinde et au repas de famille.
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Hicksou
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Message par Hicksou »

Il est temps d'écrire le CR. Je compte sur les joueurs pour corriger quelques points ou en éclaircir d'autres!

Mais accueillons tout d'abord notre Guest Star : Molloy Image


Introduction: Nous sommes le 28 décembre 1995 à Paris. La neige tombe et Electre, dans sa chambre la contemple. Elle essaie de se concentrer pour ne pas entendre la musique de Bérénice dans la chambre à côté! Les parents sont de sortie ce soir et elle a mis encore plus fort les "poetics lovers"! Electre n'en peut plus, surtout qu'en ce moment, elle est dans sa période où elle aimerait écouter et suivre les voies du seigneur! C'est vrai qu'à 15 ans, il est temps de croire en quelque chose et elle a décidé d'apporter le bien sur cette terre...
Ca ne gène pas trop ses parents qui préfèrent ça à ses anciennes périodes de communiste, de rasta et de gothique!

Bérénice, elle danse dans sa chambre! C'est la fête, papa est sorti avec Juliette, sa nouvelle compagne et Béren peut mettre la musique à fond!
Elle s'éclate donc quand d'un coup un bruit sourd retentit contre son mur! Elle n'y fait pas attention, la voisine,doit vouloir qu'elle baisse la musique.
Boum, deuxieme bruit sourd. C'est pas normal. Elle arrète la musique et écoute contre le mur chez la voisine. Elle entend des cris de l'autre côté. Apparemment des personnes se battent! Là ce n'est plus normal du tout, la voisine vit seule avec sa fille et là quelqu'un doit être en train de la frapper...
Bérénice sort de sa chambre et fonce chez la voisine. Elle crie "Electre, suis moi ya un souci".
Les deux filles sonnent à la porte, mais personne ne répond. Après deux essais, Bérénice veut défoncer la porte mais Electre tourne la poignée à temps. La porte s'ouvre...
Le salon dans lequel elles se retrouve est plongé dans le noir de la nuit. La seule source de lumière est l'écran de TV qui diffuse de la neige...

De son côté Henri Hubert est seul chez lui. Il a passé Noêl tout seul, ses parents étant en Afrique du Sud pour leurs affaires. C'est un peu triste en ce moment et il passe ses vacances dans la lecture. Son ami François est en plus rentré chez ses parents à Valenciennes pour les vacances. Alors il n'a pas grand chose à faire... On tape alors à la porte. Henri Hubert se lève et regarde par le judas, il voit une grande forme sombre encapuchonnée. Il laisse la chainette à sa porte et l'entrouve:
"Qui êtes vous?"
La forme baisse sa capuche qui laisse découvrir un trentenaire anglais et dans sa plus belle expression, il déclame:
"Je suis votre supérieur Walter Donovan!"

A suivre!
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Hicksou
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SUITE:

Walter Donovan (joué donc en PJ par notre chèr Molloy) entre donc chez Henri Hubert. C'est la panique là, il s'agit de son supérieur à Londres. Il avait déjà eu un avertissement sur le fait qu'il n'était pas assez sévère avec la tueuse!
Walter fait d'abord le tour de l'appartement et demande à voir la salle d'entraînement. Il est un peu interloqué quand il voit une piece vide avec un polochon suspendu au milieu. Il y a aussi un petit coffre avec une épée émoussée et trois peiux en bois..
Bon ça s'annonce mal. Walter demande à voir la biliothèque et là il est un peu plus rassuré. Elle est bien garnie! "Mais où est la tueuse?"

François est à table en famille pour Noêl. Son père riche industriel du Nord recemment installé à Valenciennes, coupe la dinde. Les deux frères de François, tous deux à l'université, sont en train de charier leur petit frère comme toujours: "Alors le Bobo parisien, il renie ses racines?"
La mère de François est dans la cuisine. François, ça lui fiat un peu plaisir de ne plus manger des tupperwares réchauffés mais de la vraie nourriture. Mais bon à Valenciennes, il s'ennuie un peu, en plus il a délaissé non seulement ses amis mais aussi Emilie sa copine alors qu'ils viennent juste de se remettre ensemble...
Justement le téléphone sonne, c'est elle. Il se lève sous les "hou hou François il est amoureux" de ses deux frères et il va se cacher dans sa chambre.
Emilie lui dit qu'il lui manque. Il pourrait pas la rejoindre à Paris. "Ok, je vais essayer, ça va être difficile"... La porte de la chambre claque! C'est Maman! "François, comment te permets tu de téléphoner alors que nous somme à table!, qui est ce pas une fille j'espère!"
François raccroche!
"Non maman, c'est Mlle martial notre proviseur, elle veut que je donne des cours particuliers pendant les vacances à Henri IV!"
"On verra, viens manger..."
François laisse son portable dans la chambre.

Bérénice et Electre sentent que quelque chose de bizarre se passe. Il n'y a rien dans le salon, alors les filles s'avancent dans le couloir. Ils entendent des pleurs dans un des placards. En ouvrant, il s'agit de la petite fille de la voisine, en pleurs. Electre la console "tout va bien aller maintenant!".
Bérénice continue à s'avancer et entre dans une des chambres. C'est celle de la fille. Il fait noir. Apparemment toutes les ampoules ont été fracassées. Elle regarde autour d'elle, il n'y a rien... Tout d'un coup, derrière elle, quelque chose s'agrippe dans son dos et commence à vouloir l'étrangler! Elle n'a plus de respiration...
Electre va visiter la deuxieme chambre après avoir dit à la petite d'aller dans l'appartement des Ritzenthaler. Dans la pénombre, elle peut voir la voisine en sang étendue. Elle la retourne. Ouf, elle vit encore. Vite, elle prend un drap et essaie de lui faire des bandages. Elle fonce vers le téléphoen et appelle les ambulanciers. La voisine n'a plus longtemps à vivre!
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François est retourné à table. Maman parle :"Alors François n'aime plsu sa famille, il veut retourner à Paris". Le silence se fait à table. François bredouille : "Mais non, on m'a demandé d'aider les élèves qui ont des difficultés comme je suis bon en maths, c'est pas ma faute..."
Devant l'oeil suspicieux de ses parents, il rajoute :"Et en plus ça fait longtemps que toute la famille n'est plus allée à Paris, vous voulez pas passer la semaine du nouvel an la bas?"
Personne ne parle quand d'un coup lles deux frères se mettent à crier :"Ouais M'man on veut aller à Paris, pour notre culture et pouvoir farfouiller dans toutes les bibliothèques..."
François fait un signe de négation à sa mère, tout mais pas ça.
Le verdict tombe:
"Ok François tu peux redescendre à Paris faire du soutien à l'école, mais tu loges tes deux grands frères pour la semaine!"

Du côté de Henri Hubert, il ne cesse d'essayer d'appeler la tueuse... "Mais vous allez voir Walter, je suis en contact permanent avec elle...Bon tu vas décrocher maintenant!"

Bérénice, naturellement qu'elle ne peut pas décrocher, elle a un monstre dans le dos qui essaie de l'étrangler. Elle se plie en deux et jette la créature en avant! Le monstre aterri sur le lit! Il s'agit en fait d'une peluche bisounours tout rose avec un coeur au milieu
Image

La seule différence avec l'originale c'est quil a une bouche énorme avec des crocs aiguisés comme des couteaux senshu 2000. Il saute du lit et plante ses crocs dans l'épaule de Bérénice. Elle hurle de douleur quand il lui retire un morceau de chair. Elle le prend alors à deux mains et le jette une deuxieme fois. Pas de chance, cette fois ci, il valse à travers la fenètre chute les cinq étages de l'immeuble!
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SUITE!

Bérénice fonce en bas de l'immeuble. En même temps, elle décroche enfin aux appels incessants de Henri Hubert! "Hashich, faut que tu viennes voir ça, ya un bisounours qui' m'a attaqué!"
"Ma chère Bérénice, avant toute chose, explique moi en détails c qui se passe. Je suis avec Walter Donova..."
"Pas le temps, à tout de suite!"

Henri Hubert se retourne vers Walter. Ce dernier, de son ton très anglais:
"Je crois qu'elle a raccroché..."
"Oui, oui, vous savez ce que c'est une tueuse..."
"Je vois, je vois... ... ..."
"Bon, on y va?"

Bérénice arrive en bas de l'immeuble. Le bisounours est en train de ramper pour s'enfuir. Elle défait vite son pull et enferme l'ourson dedans.
Le petit monstre pousse des cris et s'agite pour se défaire du pull.
Vite, elle remonte dans son appartement. Electre est en trai nd'appeler le père de la petite fille pour qu'il aille la chercher.
Quand Bérénice lui montre le bisounours, elle le trouve tout mignon. un peu moins quand ce dernier essaie de lui manger le bras! Ok, il faut l'attacher. Les filles prennent une corde à sauter et le ligote à une chaise. Il pousse des cris de fureur! Ok il faut le bailloner! Electre a encore un vieux masque de slipknot dans ses cartons. Elle le met sur la tête du pauvre Bisounours! MRrf mrrf mrrf! Il s'agite dans tous les sens!

La police et les ambulances arrivent. Ils amènent la mèreet la fille à l'hopital et remercient les jeunes filles de leur aide. Henri hubert et Walter montent les escaliers et voient la femme à moitié morte sur un brancard avec des dizaines de flics et ambulanciers.
"Je croyais Monsieur Henri hubert que la tueuse devait rester la plus discrete possible..."
"Oui, bon c'est peut être une coincidence!"

Fin pour aujourd'hui!
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SUITE ET FIN DE L'INTRO:

Les observateurs arrivent chez les filles. La porte est ouverte. Ils les voient en train de jouer avec une bisounours en peluche affublé d'un masque de slipknot!
Walter Donovan tousse: "Hum hum, la tueuse est apparemment en pleine action..."
Henri Hubert essaie de reprendre le dessus :"La tueuse sait très bien ce qu'elle fait!"
Electre :" Oh il est trop mignon avec son masque..."

Henri Hubert fait vite les présentations. Il essaie de faire passer le message que Walter Donovan est là pour surveiller que lui et Bérénice fassent bien leur travail.
Après un résumé de l'affaire de la voisine, Walter est soucieux:
"Hum, je crois qu'il va falloir disséquer cette petite bête..
"grmml grmml hurmf!" (bon vous aurez compris que c'est le bisounours qui proteste!

Electre s'interpose! "On ne dissequera pas Théophile!"
Bérénice: "Pourquoi tu l'as appelé Téophile, c'est pas toi qui l'a trouvé!"
Henri Hub: "Bon les filles, faut pas chipoter avec qui vous savez", regard de biais vers Walter qui cherche dans sa poche ses pastilles minth : "Je suis un vrai anglais, regardez mes pastilles viennent de chez Mark & Spencer!"

Ca tape à la porte: "Surprise!" C'est François qui vient d'arriver de Paris! Il y a des accolades et quelques embrassades!
"Cool que tu sois revenu, mais comment tu as fait?"
"Ben j'ai réussi à négocier avec mes parents, par contre Henri Hubert, faut que je te parle. Tu sais mes deux frères de l'université"
"Oui...ceux qui font toujours la fête?"
"Exactement, ben là ils sont à Paris justement en train de faire la fête et comme chez moi c'est un peu petit...je leurai donné ton adresse pour dormir..."

Grmml grmmml Humpf! L'ours sautille sur sa chaise, il essaie de se démener mais n'y arrive pas, ça l'énerve encore plus :Grmmml grmmmml! :grmbl: :grmbl:

Nouvelle explication de l'affaire! Et là ça devient le vaudeville! "Hum Hum"
Tout le monde se retourne vers l'ourson, mais cette fois ci ce n'est pas lui qui tousse, ce sont Jean et Juliette, le père des deux jumelles qui viennent de rentrer à la maison!
"Les filles, je vous avais dit de ne pas inviter vos amis à la maison, surtout après l'épisode de la douche (épisode 4). Et qui est ce Monsieur avec vous?"

Electre tente d'improviser: "Mais papa, la voisine s'est faite agressée, alors Bérénice et moi, on a appelé les secours et sauvé la pauvre dame et sa fille. Comme Henri Hubert et François ont leur brevet de secourisme et que le SAMU est long à venir, on a préféré les appeler en prévention et ils ont fait les premiers soins à la dame qu iest maintenant sauvée! Pour le monsieur anglais, comme je croyais que la voisine allait mourir, il fallait trouver un prêtre pour les derniers sacrements, alors je suis descendu dans la rue et je suis tombé sur ce prêtre anglais qui visitait Paris. Il a bien voulu monter, mais heureusement, il n'a pas eu à faire son devoir de gardien de la chrétienté!" Elle finit par un signe de croix.

Bérénice, Henri Hubert et François sont époustouflés (le MJ aussi je dois avouer!).

Les parents, fatigués, vont vite se coucher et il est temps pour la jeune équipe et leur chaperon de se quitter, sinon Jean et Juliette vont trouver ça louche.
Ils fouillent avant la poubelle chez la voisine et retrouvent l'emballage du bisounours avec le ticket de caisse. Il a été acheté juste avant noêl pour la petite fille au magasin JouetClub du boulevard des Italiens.

Henri Hubert et Walter DOnovan embarquent le bisounours (avec la chaise pour qu'il reste attaché) "Henri Hubert, nous ne sommes pas couché, nous avons du travail à faire".

Electre va voir Henri Hub: "Promets moi que tu ne vas pas tuer Teophile!"
Henri Hubert ne peut résister au regard d'Electre...

Les filles vont se coucher, les deux observateurs s'apprètent à passer une longue nuit à étudier le bisounours et François reprend tranquillement le métro. Il réfléchit : "J'ai oublié quelque chose". Il fouille sa poche et sort son portable : 22 appels en absence d'uen seule personne et ce n'est pas Maman: C'est Emilie, sa copine, il l'a totalement oublié! Arghhhhhhhhh!


GENERIQUE

Dans le rôle de Bérénice la tueuse :Image

Dans le rôle d'Electre, soeur jumelle de Bérénice:
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Dans le rôle de François le meilleur ami:
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Dans le rôle de Henri Hubert, l'obersvateur de 15 ans:
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Et Special Guest, dans le rôle de Walter Donovan:
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Hicksou
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Message par Hicksou »

Chapitre 1: Descente aux magasins!

Il fait nuit noire! On peut juste distinguer une lumière artificielle dans une grande pièce uniquement décorée par un polochon attachée à des chaines en son centre!
La lumière éclaire une chaise où est attaché un ours en peluche avec un masque de slipknot! Devant lui, un gamin de 15 ans et un british 100% sont en train de discuter sur quel sort essayer de lui lancer pour le faire parler!
Il n'y a absolument rien dans les livres... Ah si Henri Hubert a trouvé quelque chose. Il existe un vieux sortilège en latin permettant de lever la malédiction sur l'ourson, si malédiction il y a.
Il faut dessiner des symboles autour de lui et ajouter des restes de poissons. Il est 2h du mat', mais un coup de fil à Sushi Express et l'affaire et dans le sac!
Walter Donovan lance l'incantation et plaf, l'ourson s'évanouït... Oups, Henri Hubert est inquiet "Vous croyez qu'il est encore vivant?"
"Je ne sais trop, je pense plutôt qu'il est endormi, mais il est tard, une bonne nuit de sommeil nous fera du bien".
Henri Hubert montre la chambre d'ami à son supérieur.
Il met son pyjama et s'apprète à se coucher quand ça sonne à la porte!
"Quoi encore?"
Il va pour ouvrir et tombe nez à nez avec les deux frères de François totalement bourrés:
"Hey mec, cool ta piaule, François avait pas menti quand il disait que c'était grand! T'as une playstation?"
"Messieurs, je veux bien de vous chez moi, mais il faut aller se coucher, il est tard!"
"Hey tu vas pas faire notre mère là, c'est les vacances!"

Un fort accet anglais se fait entendre: "Il est leur de dormir les enfants sinon j'utiliserai la force!". C'est Walter Donovan en pyjama et arbalète à la main! Tout de suite les deux frères de François désaoulent! "Ok, elle est où notre chambre..."

29 Décembre, c'est assez beau Paris sous la neige. Henri Hubert n'a pas trop dormi avec tous les événements de la veille. En plus il faut qu'il trouve du thé pour Walter Donovan! Il se réveille et toute la petite équipe est déjà là: les jumelles Rietzenthaler, François et Walter qui déjeunent tranquillement! "He bien Monsieur Henri Hubert, on vous attendait pour élaborer un plan! Vous n'êtes pas matinal!"

Electre se lève de table pour aller voir Téophile. Henri Hubert lui dit d'aller dans la salle d'entrainement, mais Téophile n'est plus là, il s'est détaché de sa corde à sauter.
Panique pour tout le monde, surtout après avoir vu qu'il a literallement mangé un morceau d'épaule de Bérénice! C'est Electre qui le trouve en premier, il est tranquillement en train de faire la vaisselle dans la cuisine.
Le sortilège a donc marché mais l'a laissé en vie. Et surtout son masuqe est maintenant collé à sa tête, impossible de le retirer. Il n'a plus l'air d'être très dangereux à part qu'il grogne en continue! "On peut le garder" font les filles en choeurs avec de petits yeux suppliants!

Il est temps d'élucider ce mystère. Le jouet a été acheté chez JouetCLub, boulevard des Italiens, il faut donc aller faire une visite.

Le magasin est assez vide de clients après Noêl, même s'il est le plsu gros de Paris avec ses multiples étalages pour les jeunes de 7 à 77 ans. Il y a juste le service après vente qui se remplit de jouets défaillants. Les décos de Noêls sont encore là ainsi que les photos des employés du mois.
En dessous des photos, il y en a une autre, plsu grosse celle-ci, beaucoup plus grosse, c'est celle de Pierre Drac, le patron du JouetCLub, gros bonhomme d'une 40aine d'année à la calvitie naissante et fumant le cigare sur la photo.

François, Henri hubert et Walter commencent à fouiller discrétement les bisounours... Il y a une drole de pellicule blanche sur le carton, comme une poudre qui aurait été jetée dessus, sur les autres jouets aussi d'ailleurs.

Electre et Bérénice veulent fouiller l'arrière boutique. Il n'y a qu'une seule porte et Bérénice décide de rentrer. Elle tombe dans le bureau du directeur. C'est un bureau spacieux et très luxueux. Des écrans suivent la bourse en direct, il y a des statues de dollars en or massif! Enfin on voit bien que les enfants c'est le denrier des soucis de ce chef d'entreprise.

"Bonjour Msieur"
"Hey la gamine, c'est privé ici, tu sors tout de suite!"
"Me suis perdu, je cherchais le reverse twister et je le trouve pas en magasin"
"Ben achete autre chose"
"Non c'est ça que je veux!"
"On l'a plus en magasin?"
"Ca vient des USA en plus, c'est vraiment ce qu'il me faut la denriere chose à la mode"
"Vient des USA! Attends on va regarder ça sur l'ordinateur, avec un peu de chance ça coute cher!"
Il commenceà trifouiller son clavier. "Hum avec le dollar à 16 francs et les frais de ports ça va faire dans les 260 francs. Ton papa serait d'accord?"
"Bien sur!"
"Ok je vais t'accompagner jusqu'à ton papa!"

Et les voilà qui sortent du bureau!
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Hicksou
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Message par Hicksou »

SUITE

Les trois hommes (enfin l'homme et les deux jeunes adolescents de 15 ans) marchandent avec un vendeur pour acheter un bisounours: "On le prend mais j'aimerais savoir pourquoi il y a cette poudre bizarre sur tous vos jouets?" "Mais je ne sais pas monsieur! Je vais vérifier tout de suite!"

Là arrive Bérénice et Pierre Drac, le patron du magasin. Il serre la main de Walter avec un large sourire. Il parle longuement de l'intéret que porte sa "prétendue fille" (sourire de Bérénice) pour un Reverse Twister. Walter accepte la commande. Ils sont maintenant face à face avec le patron.
François demande des renseignements sur cette poudre bizarre sur l'ensemble des jouets.
Après vérification, le patron ne peut pas contredire :"Hum en effet, mais c'est normal, c'est juste un processus de conditionnement..."
La petite équipe se regarde, ça ne tient pas debout son histoire!
Le patron évite la conversation prétextant du travail et amène son vendeur avec lui dans le bureau. Il faut les surveiller!
Electre et Bérénice se proposent d'écouter à la porte. Pas mla comem idée, mais le souci c'est que tous les clients et vendeurs du magasin vont les voir, la porte étant bien visible...
Pas de problème, Henri Hubert et François sont là. Ils ont récupéré un énorme chariot pour transporter les cartons dans le magasin. Il n'est pas utilisé. Ils le place juste devant la porte, laissant quelques centimètres entre le mur et le chariot pour qu'Electre et Bérénice passent.
Les filles écoutent à la porte et là ça crie dans le bureau!
Pierre Drac s'énerve sur son employé!
"Vous allez me nettoyer ça tout de suite, je sais pas ce que c'est que cette poudre, mais c'est surement ça qui fait détraquer mes jouets! Surement un coup de Blaise Darcin. Encore ce salaud, il supporte pas ce que je lui ai fait... Allez maintenant dégagez!"

Electre et bérénice s'accrochent au chariot et les deux garçons le pousse juste à temps. L'employé sort et ils se font copieusement engueulés pour jouer avec le matériel du magasin!

Ok, une fouille rapide dans les pages blanches permet de savoir que Blaise Darcin habite rue du commerce. François, Bérénice et Electre décident d'y aller pendant que (j'ai oublié ce que faisaient Henri Hubert et Walter pendant ce temps?)
La première équipe arrive donc chez Blaise Darcin. Il habite dans un vieil appartement rue du commerce au 1er. Au rez de chaussé, il y a les restes d'un magasin de jouet qui a fermé.
En sonnant chez Blaise Darcin, un petit vieux les accueille. Il a l'air tout gentil et inofensif. Ca lui fait plaisir de voir des enfants à nouveau. Notre jeune équipe se fait passer pour une association qui doit récupérer des jouets pour faire des dons. Blaise les accueille cordialement et il expliquera grace à deux trois questions bien tournées que son magasin était le principal concurrent du JouetClub de Pierre Drac. Ce dernier, avec ses relations à la mairie, a réussit à faire rendre son magasin comme non conforme à l'hygiène. Le pauvre Blaise a du fermer le magasin et a tout perdu.
Sur ce, rentre dans la pièce, Colin son fils, beau jeune homme de 23 ans. Bérénice est tout sourire et oublie déjà l'histoire de Blaise alors qu'Electre pleure à chaudes larmes les malheurs du monde, mais Dieu est miséricordieux.
Colin demandera aux adolescents de partir car son père n'est pas bien en ce moment. Electre et François s'executent alors que Bérénice reste dnas le salon en regardant Colin avec un grand sourire. Sa soeur l'emmene par le bras et nos trois jeunes décident de se poster au macdo en bas de l'immeuble pour suivre les deux homems à leur sortie de l'immeuble.

Suite bientôt quand je me serais rappelé qu'on fait Walter et Henri Hubert? Surement examiner la poudre, mais comme ça roleplayait en même temps que je m'occupais d'un groupe, j'ai un doute!
Dernière modification par Hicksou le jeu. août 02, 2007 11:48 am, modifié 1 fois.
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Message par Hicksou »

Et en attendant la suite: Bérénice a eu la gentillesse de prendre en photo son nouvel animal de compagnie (qui fera je pense bientôt parti du casting comme récurrent)!

Voici la bête:

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PS: Pour les joueurs, je propose qu'on amène à chaque fois qu'on joue l'ours grumly qui a joué le role de Téophile! C'est un peu le 5eme (6eme?) PJ!
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Message par Melwen »

Hicksou a écrit :PS: Pour les joueurs, je propose qu'on amène à chaque fois qu'on joue l'ours grumly qui a joué le role de Téophile! C'est un peu le 5eme (6eme?) PJ!
Je lui demanderais ce soir.
Je suppose qu'il grognera un peu mais acceptera parce qu'il a un bon fond au final.


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Message par Molloy »

Hicksou a écrit :Suite bientôt quand je me serais rappelé qu'on fait Walter et François? Surement examiner la poudre, mais comme ça roleplayait en même temps que je m'occupais d'un groupe, j'ai un doute!
On a voulu examiner la poudre, mais le "laboratoire" de Henri-Hubert (une boite Chimie 2000) était un peu limité, et on est tout les deux des buses en science... Donc on est allé chez leur connaissance vaudou-rasta-vendeuse d'herbes sur le boulevard de Strasbourg, sans apprendre grand chose je crois cependant.
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Message par Hicksou »

Molloy a écrit :
Hicksou a écrit :Suite bientôt quand je me serais rappelé qu'on fait Walter et François? Surement examiner la poudre, mais comme ça roleplayait en même temps que je m'occupais d'un groupe, j'ai un doute!
On a voulu examiner la poudre, mais le "laboratoire" de Henri-Hubert (une boite Chimie 2000) était un peu limité, et on est tout les deux des buses en science... Donc on est allé chez leur connaissance vaudou-rasta-vendeuse d'herbes sur le boulevard de Strasbourg, sans apprendre grand chose je crois cependant.
Ok, ben t'as bien résumé. La connaissance Vaudou est bien sur mama Vaudou sur le boulevard Barbes, mais à part ça c'est ok!


SUITE:

Henri Hubert et Walter décident de rejoindre les autres au MacDo de rue du commerce pour préparer leur plan.
Arrivés là, autour de bons Big Macs, ils conviennent de résumer:

Pierre Drac, propriétaire du jouetClub, boulevard des Italiens, a utilisé ses contacts pour faire fermer le magasin de Blaise Darcin son concurrent, rue du commerce.
Un des deux Darcin, surement le fils, a récupéré la poudre magique pour rendre maléfiques les jouets, afin de se venger.
Il faut donc suivre ces deux pistes:

1)Bérénice, Walter et Henri Hubert vont aller fouiller de nuit le JouetClub afin de voir si quelqu'un jette de la poudre en cachette.
2)Electre et François vont rester au Macdo afin de surveiller si un des deux Darcin sort de la maison. Si c'est le cas, ils le suivront!

La première équipe prend donc le métro pendant que François et Electre sirottent leur Fanta calmement. Le téléphone de François se met à sonner! Zut c'est Emilie, il a pas eu el temps de l'appeler avec tous ces événements! Elle va hurler:

"Allo..."
"François, je me suis inquiétée toute la journée. Pourquoi tu ne veux pas me voir."
"C'est pas ça du tout, tu n'imagines pas ce qui est arrivé. Mes frères m'ont emmené en voiture et celle ci est tombée en rade en pleine Picardie. On est coincé dans un vieux bourg depuis la nuit dernière. J'aimerais tant être avec toi..."
"Mon pauvre, ne t'en fais pas, quand tu reviens je te ferais oublier tout ça..."
"Et toi tu fais quoi de beau?"
"Moi je suis au mac do, on a fini le shopping avec les copines et..."

François se retourne, il entend la conversation en stéréo et se retrouve face à face avec Emilie. Seul un fanta à moitié bu les sépare!
Pas la peine de préciser que la conversation ne se passe plus au téléphone:

"Tu m'as menti, t'es vraiment un salaud..."
"Mais tu sais euh c'est pas ça"
"Et en plus t'es pas seul, je vois" (Electre tente de se cacher derrière son plateau Mac do)

Une gifle retentit dans le Mac Donald : "Et ne me reparle plus jamais..."



CHAPITRE 3: Diviser pour mieux regner!


Il fait nuit noire sur le boulevard des Italiens. Les grilles sont tombées sur la vitrine du JouetCLub. Ce n'est pas vraiment un problème pour Bérénice et ses deux observateurs, ils ont décidé de passer par l'accès donnant sur l'immeuble à coté.
Ils sont dans le couloir devant la porte cadenassé menant au JouetClub. Henri Hubert voulant montrer son savoir devant son chef crochette de ses doigts agiles la serrure. Le magasin s'ouvre à eux!

C'est assez lugubre un énorme magasin de jouet la nuit. Les yeux des peluches semblent vous regarder et les paillettes se reflètent au clair de lune. Si en plus on rajoute que derrière un étalage, on peut entendre quelqu'un jeter de la poudre sur les jouets, ça ne rassure pas!
Walter fait un petit signe à Henri Hubert. Il va aller d'un côté de l'étalage pour bloquer si l'opposant essaie de s'enfuir. Henri hub est chargé d'aller de l'autre côté.
Walter dit alors : "Bérénice, toi tu fais ce dont tu as l'habitude..." Henri Hub le regarde "Tu n'aurais pas du dire ça"!
Alors que les deux observateurs s'avancent discretement vers le couloir ou semble être le lanceur de poudre, ils entendent une voix tonitruante:
"Bonjour, c'est la tueuse et t'as intérêt à bien te tenir!"

Walter regarde furieusement Henri Hubert "C'est toujours comme ça?". Il hoche la tête "Toujours..."

Les deux hommes foncent de chaque côté de l'étalage et voient le mystérieux lanceur: Il s'agit d'une forme humanoïde avec une grnade tête rouge armée de rastas de chairs. Les yeux n'annoncent pas l'hospitalité et encore moins les deux sabres qu'il porte à sa ceinture!
Les peluches sur les étalages commencent à s'agiter et à rire frénétiquement devant le regard ahuri des deux hommes.
Le démon dégaine ses sabres et les fait virevolter devant lui.
"Yeaahhhaaaa!", c'est le cri de la tueuse qui avec sa hache vient de sauter au dessus de l'étalage et qui la plante dans sa chute dans le crane du démon...

Walter avoue :"C'est du bon boulot, ça. Mademoiselle je vous ai sous estimé. Henri Hubert, vous l'avez bien entrainée".
Henri Hubert est souriant: "C'était pas si difficile..."

Tout d'un coup, ils entendent un gros coup de klaxon et sont éblouis par des lumières. Un énorme camion de marchandise sur l'avenue est en train de foncer sur la grille du JouetClub, il est conduit par deux bisounours, un au volant, l'autre qui appuie sur l'accelerateur! Ca rigole au volant!
Le camion fonce droit dans la grille, les vitres éclatent, et maintenant son prochain objectif sont les trois humains devant lui pétrifiés!
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