Raconte moi ta dernière partie... (même celle de demain)

[KamiSeiTo]

Bon... je t'avais fait une longue réponse mais elle a été effacée! -_-'

Donc je disais, en bref cette fois, que je vois pas le lien entre Reign et BE.

Reign permet de gérer des Compagnies, un peu à la manière d'un PJ/PNJ, avec des stats et des résolutions pour les types d'actions que ces compagnies entreprennent. Le MJ procède là de manière très classique, gérant les autres Compagnies aussi classiquement qu'il gère ses PNJ.

BE permet, par son système d'économie de scènes et la place centrale dans les histoires des Beliefs, de donner aux parties la structure qu'on classiquement des récits (on découvre les personnages, leur univers (i.e. pas forcément l'Univers, mais leur univers à chacun), les enjeux qui se mettent en place, la tension monte, les pièces se mettent en place, et à la fin gros climax, et vu qu'on n'a pas tout casé les méchants et que même celui casé est pas forcément HS (n'est-ce pas Udo!) ben ça veut dire qu'il reste encore des choses à faire, voire ça en a créé de nouvelles, et donc ça sent bon l'appel à l'épisode suivant).
Par contre, pour ce qui est des factions, elles sont gérées aussi classiquement que dans d'autres jeux. Le MJ a des PNJ importants, ceux-ci ont un background donc par exemple une place et un grade dans l'armée etc, ils ont aussi des contacts et des gens avec qui ils sont alliés et cette gestion des factions est "plus classique". C'est le PNJ ou les PNJ majeurs et leur interactions (alliances, tensions, accord plus ou moins solide...) qui sont importants, après la dizaine de bonhomme armés de flingues c'est du decorum, ça arrive et n'est important qu'au moment de les affronter ; disons que cette partie là me parait être gérée plus tactiquement (à part les dés bonus engrangés par les PJ et PNJ pendant les autres scènes et qui vont servir à les booster pour le conflit final, si je me souviens bien).

Udo nous a enregistrés, et oui il a dit qu'il allait faire un compte-rendu. Je pense que comme pour celui de MG, il explicitera au passage la partie mécanique. n_n

[Wenlock]

C'est bête, pour la version longue, ça m'eût bien plu de la lire.

Le lien que je fais n'est pas entre BE et Reign, mais entre eux deux et cinEtic car j'aimerais obtenir un résultat qui soit, j'espère, une sytnthèse des deux effets. Soit un jeu en "faction" où la gestion des ressources, la conquête d'objectifs et les gains à l'échelle de l'entité (compagnie/fief/culte/réseau façon "Delta Green") amène constamment de l'histoire aux PJ eux-mêmes. Quelque chose de l'ordre de "Si on étendait notre Territoire ? _Ok, pour gagner 2pts de territoire, il faudra affronter un ennemi de niveau X pendant y scénars, impliquant au moins tel et tel genre de scène. Laisser-moi y réfléchir, on se fait ça à la prochaine partie.".

[KamiSeiTo]

Ben pour le premier point, tu crées une compagnie exactement à la manière d'un PJ/PNJ, et pour la deuxième partie, ce qui t'intéresserait le plus de BE à mon avis ce serait ce qu'on n'a pas joué (enfin, on l'a fait pour le fun mais sur un seul scénar ça n'a aucun impact), qui consiste à choisir pour un scénar quelle est en gros l'action qu'on va prendre (parmi plusieurs possible) et le MJ fait pareil dans son secret. A la fin du scénar, les joueurs (et le MJ, qui est quasiment un joueur comme un autre dans BE, juste qu'il a plusieurs PJ et pas un seul) vont faire un jet de l'action qu'il avaient choisie, à laquelle les diverses actions qu'ils ont pu faire durant le scénar auront apporté des dés bonus. Ce jet marche via une matrice comme tous les conflits dans BW/BE/MG. C'est un méta-conflit en fait, sauf qu'on scripte un par un et pas trois par trois, et qu'on fait un jet à chaque fin de scénar, au long de la campagne (mais tu peux faire plus court dans ton adaptation).

[Wenlock]

Oui, c'est une option, mais je demandais un CR (c'était mon intervention de départ )justement pour me rendre compte de "ce que ça fait vraiment en jeu", à Reign comme à BE.

[Zashiki-warashi]

Continuation semi-improvisée de Mage 1880 hier après-midi et soir, avec une séquence onirique où, comme de coutume, tout le monde s'est bien lâché. Si, si, je vous assure que les rêves, ça peut faire de très bonnes scènes.

Rapide (re)mise en situation: Le groupe est pour le moment dans une Londres parallèle issue d'une divergence créée dans le passé par un contrecoups de Paradoxe particulièrement vicieux. Dernièrement, les PJs (Liam Oakley, Charles Amberville, Floyd Alexander et Mary Sarah Lovelace) avaient délivré Cornelia et Juliet, les deux princesses liées au capitaine Clarick. Lors de l'évasion, la petite Juliet (7 ans) a été enlevée par un agent servant "Dresca", unr organisation de renégats, vraisemblablement des Nephandis. Cependant, comme au cours de l'opération, Liam avait donné à Juliet un sédatif contenant un "rêve pour enfant", fourni par une mage spécialisée dans la création de rêves, il s'est dit: "on pourrait la localiser en utilisant son lien avec le rêve."

Séance du jour (Liam et Charles, les autres n'étaient pas là):

Fort courageusement, les deux ont annoncé en personne à Clarick ce qui s'était passé, ainsi que le plan mis au point: quelques heures avant, ils avaient contacté Abigail Gordon, la Marchande de Rêves, en lui disant d'essayer de localiser Juliet. Toujours sans nouvelles, ils se rendent avec Clarick à l'échoppe des Marchands, où, après avoir forcé la porte, ils trouvent Abigail et son associé, Terence Gilliam (oui, c'est fait exprès), endormis, liés par un fil pour voyage ensemble dans les rêves. Une petite investigation combinée (désordre dans la pièce, actions faites à la hâte, livres tombés à terre...) révélant que l'opération est sans doute plus ardue que prévue, Liam décide de "pirater la connexion" et trouve du fil pour se relier aux deux Marchands, invitant Charles et Clarick à faire de même.

Plongée dans le rêve. Le groupe se retrouve à bord d'une barge volante en train de chuter, au dessus du district de Lambeth transformé en champ de bataille. Il apparaît assez vite que ce rêve est issu des souvenirs de Clarick, qui avait été présent à la "bataille de Lambeth", 3 ans auparavant. Tandis que le capitaine reprend tant bien que mal le contrôle de l'esquif, Liam et Charles manipulent, le rêve pour essayer de retrouver la trace d'Abigail et Terry. Le groupe joue un peu de malchance (de botchs en série, quoi...) car non seulement ils ont tout d'abord du mal à récupérer la voile de la barge, surtout que Charles trouve le moyen de la marquer à ses couleurs (violet et jaune), mais en plus les aérofreins les lâchent. Charles parvient à improviser un parachute de freinage, alors qu'ils mettent le cap sur l'immeuble où ils pensent avoir trouvé la trace de la Marchande; le freinage est brutal, et ils utilisent le choc pour venir passer à travers la fenêtre, laissant la barge s'encastrer dans le mur deux étages plus bas.

L'intérieur est fort coquet, presque trop propre pour ce monde-là. Liam continue de suivre le "fil d'argent" menant à Abigail, fil qui les mène dans un couloir dont toutes les portes s'ouvrent sur leur passage. Dans un salon, Charles trouve une boîte de cigares et en partage le contenu avec Liam, avant que tous deux ne se rendent compte que Clarick, un peu plus loin, s'est figé devant une autre porte. La pièce qu'il regarde contient en effet un portrait de famille — lui-même, une jeune femme et deux enfants. Charles ne peut s'empêcher de poser LA question fatidique (il a en effet connu ladite jeune femme: dans le monde des PJs, elle a l'apparence de ses douze ans, et est en fait une Wraith, morte depuis... un bail). Il s'avère qu'elle était Wilhelmina, l'épouse de Clarick, ce dernier ayant de fait causé sa mort lors de la destruction d'Edimbourg. Fort embêté, du coup, Charles laisse Liam les entraîner tous deux dans une autre pièce, une nursery où se trouve une grande maison de poupées ressemblant trait pour trait à l'immeuble où ils ont atterri (avec une barge miniature encastrée dedans, d'ailleurs). Ils plongent dans la maison... et se retrouvent dans la même pièce qu'avant, celle dont ils avaient brisé la fenêtre pour entrer.

Liam commence doucement à en avoir marre et utilise son cigare pour faire une grand rond de fumée, créant ainsi une nouvelle porte onirique. (C'est à partir de là que Charles commence lui aussi à bien se lâcher, en musardant sur "tiens, une porte ronde, si elle était verte... et puis elle s'ouvrirait sur une maison bâtie dans un flanc de colline... ah ça ferait une bonne idée pour un livre, ça...") De l'autre côté, un couloir de pierre, éclairé par des torches, rappelant une sorte de prison souterraine. Charles y réapparaît vêtu d'une longue robe et chapeau pointu de mage, violets, avec un bâton en main, qu'il utilise pour faire de la lumière. Là encore, Clarick semble fort troublé, car il pense reconnaître cet endroit. Liam lui-même est peu rassuré, notamment à cause d'une petite manipulation de rêve qui lui rapelle tout de même que tout juste quelques heures auparavant, un Nephandus avait attaqué son motif spirituel de façon particulièrement crade... Plus loin, le couloir forme un coude. Ce tournant passé, ils distinguent deux portes, et le reste du couloir barré par une grille, derrière laquelle se tient une femme en robe noire, aux cheveux blancs et à l'air fort inquiétant. Elle tend les bras pour attirer Clarick à elle. Charles aide le capitaine à résister et, quelque peu frustrée, la femme lève alors la main pour faire apparaître une épée qui transperce sa victime. Les deux PJs agissent au quart de tour: Liam s'occupe de soigner Clarick avant que sa mort dans le rêve ne l'éjecte (ou pire...?), tandis que Charles fait face à l'étrange femme, qui a fait apparaître d'autres lames volantes. Avec brio, d'ailleurs, il crée à son tour une épée et parvient à repousser les lames, avant de lever son bâton et d'annoncer fièrement "Je suis Amberviolet, serviteur du feu sacré de Foldingue! Tu ne passeras point!" (et de faire s'écrouler le mur pour bloquer l'accès à la grille).

Trouvant l'idée cocasse, Charles continue de manipuler son bout de rêve, et affuble Liam d'un costume de barde médiéval, avant de se dire "ça ferait une bonne équipe... mais il nous manque un chevalier" (et là, le quatrième mur achève de s'écrouler... ). Devinez qui s'y colle, et se retrouve avec une claymore et en armure de plate... noire? (Wismerhill, sors de ce corps!) Clarick apprécie fort peu la plaisanterie, Liam aussi, et Charles est finalement contraint de les renvoyer à leur état normal. Accédant ensuite à l'une des deux portes, ils trouvent derrière une salle de torture. Sur deux tables, Abigail et Terence, endormis. Liam et Charles les détachent, mais leurs esprits ne sont plus là, et il leur faut à nouveau plonger dans un niveau encore inférieur du rêve. Liam s'inquiète sérieusement maintenant: quatre niveaux de conscience, c'est énorme, même pour un Rêveur aussi doué que lui...

Le passage effectué, ils se retrouvent tous trois dans une salle de bal où évoluent des couples, en parfaite harmonie, tous ayant les mêmes vêtements et le même visage. Parmi eux, plus loin, ils aperçoivent Abigail et Terence, l'air totalement vide. Liam invite alors Charles à danser... et lui rend la monnaie de sa pièce, en leur donnant tous deux les mêmes costumes que les danseurs, avec Charles prenant l'apparence d'une femme (sachant qu'il existe, dans le Londres parallèle, une "Charlotte Amberville", et qu'elle est pas mal gratinée niveau foldingue et violente). Ils se mêlent aux danseurs pour rejoindre les deux Marchands, remarquant toutefois au passage que de la foule vient de sortir Wilhelmina, qui entraîne Clarick resté seul. Liam se rend compte qu'il faut agir au plus vite. Il tire une plume de ses cheveux et en effleure Abigail et Terry, les réveillant de leur état d'hypnose, avant de revenir vers Clarick. Celui-ci, heureusement, ne s'est pas laissé prendre au piège. Après un regard échangé, il finit par tirer sa lame et par en transpercer le fantôme qui tentait à nouveau de le faire chuter. La musique s'arrête alors, les danseurs aussi, leurs fils se brisant, et résonne dans le silence soudain les applaudissements d'une seule personne: une femme, assise derrière eux dans ce qui ressemble à une salle de spectacle. Elle est vêtue de longs voiles blancs, et à ses pieds est assise Juliet, dans le même genre de robe, l'air absent.

Comprenant qu'ils sont enfin face à celle qui empoisonnait leurs rêves — un agent de Dresca connu sous le surnom de "la Danseuse" (et qui serait apparemment le double d'une femme du monde des PJs, une cantatrice nommée Salomé Ladislaw) — Liam et Charles préparent une action de concert. Liam essaye de toucher Juliet de sa plume, mais se voit arrêté par un fil d'argent qui lui capture le poignet. Charles matérialise un oeuf dans lequel il place un piège (une sorte de grenade, en fait, visant à, pour ainsi dire, "faire planter le rêve") et tente de l'offrir à la femme, qui ne se laisse pas avoir. Au diable la prudence: un nouveau regard échangé, et Charles ouvre l'oeuf pour le lui lancer à la figure, tandis que Liam plonge pour attraper directement Juliet. L'oeuf explose en rais de lumière, aidés par Abigail qui renforce leur effet, brisant la salle de spectacle pour les renvoyer dans les geôles.

Le groupe n'attend pas son reste et s'enfuit. Liam laisse Clarick porter Juliet, et barre la porte derrière eux une fois qu'ils sont dans le couloir. Le rêve se distord, révélant à nouveau la grille et la femme aux épées, cette dernière n'hésitant pas à s'attaquer à tout le monde. Liam n'est d'ailleurs sauvé que de justesse par... hum, disons l'esprit d'un autre PJ, Eric (c'est compliqué, donc on va juste dire qu'il s'agit d'une rémanence laissée en lui). Ils ouvrent ensuite la porte restante, pour retrouver la maison de poupées et gagner son escalier afin de sortir. Là, la Danseuse parvient à nouveau à retourner contre eux un élément de leurs propres subconscients: une créature tentaculaire, issue cette fois de l'esprit de Terence (une sombre histoire qu'il écrivant, sur des monstres-pieuvres venus de Pluton...). Pour la bannir, Charles improvise un signe (ohh, tiens, un Elder Sigil...), et ils parviennent enfin à la porte... pour revenir au premier niveau de conscience, celui de la bataille. Là, Liam et Clarick se regardent: puisque le vaisseau du capitaine y était, à cette bataille... Et hop, les voilà à ouvrir la fenêtre du salon pour attraper l'échelle de corde lancée depuis les soutes du HMS Edinburgh. A ce moment, alors que tous pendouillent de l'échelle et que le dirigeable commence à s'éloigner, le véritable effet de l'oeuf-grenade leur parvient enfin, faisant exploser l'immeuble, puis les bâtiments avoisinants... Le rêve tout entier s'effondre, s'efface, y compris d'ailleurs le vaisseau et l'échelle. Liam hurle à tout le monde de se réveiller, s'entaillant la main de son couteau pour les asperger tous de sang et se servir de cela comme focus. Puis l'échelle elle-même se dissout par le haut, et ils chutent...

...une main saisit le poignet de Liam, et tous se réveillent là où étaient restés leurs corps physiques, pour découvrir à leur chevet Floyd, entre temps alerté, et venu leur porter secours depuis l'extérieur.

Et sur ce, suite, heu... la prochaine fois qu'on joue cette Chronique.

[le Zakhan Noir]

Hier, on a entamé le dernier volet du Ressac de Bryn Celli Ddu (l'Appel de Cthulhu)Les Investigateurs ont débarqué (difficilement) à Curtain Wall, la forteresse en ruines habitée par les druides, au large de l'Ile de Man.

Ils ont constaté l'empoisonnement massif des druides qui se meurent tous lentement dans de terribles souffrances.

Certains ont participé au chant des Hommes qui empêche pour l'instant les Profonds d'investir leur ancien sanctuaire. Mais le chant faiblit de plus en plus..

Et la multitude de conques géantes au large se rapproche

En descendant dans les sous-sols ils ont croisé un ancien druide, plutôt... spécial.
Et ils vont devoir faire face à l'inéluctable... sans compter le bébé qu'ils doivent sauver...

Un CR devrait bientôt être pondu

[Merlock]

En tout cas, c'est promis, j'arrête la Coke...

[Zashiki-warashi]

Ouais mais non, parce que là, je crois que le rail de coke, entre Charles et Clarick, ça va fuser dans les prochaines minutes suivant le réveil...

[Sherkan]

Today, quasi journée entière de jeu avec les amis Alahel et Dokkalfar, toujours sur Dark Sun en version Microlite.
Très très bonne partie, je me suis amusé comme un p'tit fou, les intrigues ont avancées, les problèmes aussi et le tout dernier combat fut assez épique.
Dark Sun est en train de devenir un univers de prédilection pour moi.

Côté technique, on a fait le constat de quelques limitations, surtout au niveau des complémentarités entre les compétences de chacun, vu qu'il y en a très peu.
Ca et une erreur flagrante dans l'adaptation à DS, au niveau des armes, mais on résolu çà facilement.
Pour le reste, le côté "faire au jugé quand la règle n'est pas écrite" n'a pas posé de problème, vu que du coup j'expliquais mon souci et proposais une solution à laquelle les joueurs adhéraient ou enrichissaient cette proposition sans chercher à tirer la couverture à eux. Rien que çà, merci les gars, c'est un bonheur de jouer avec vous deux... sauf Alahel
Je ferai le CR, plus tard, dans son sujet dédié.

[Alahel]

Je dois vous dire que Sherky était à deux doigts de dire qu'il arrêtait le jdr un vrai serial abandonneur ! Il est presque pire que moi

Tout ça pour une pelleté de vannes pourraves, des allusions sexuelles et sexistes à gogo et des sarcasmes omniprésents (les vraies valeurs du jdr quoi, 35 années d'expérience toussa, toussa)

[Sherkan]

Le gros problème technique de Microlite 20, c'est de jouer avec un fan de C&C qui te prête la campagne The Umbrage Saga, et avec un autre qui te donne C&C ET fait exprès de te montrer la fiche automatique de D&D 4 sur ton ordinateur pour te prouver Ô combien ce jeu est facile.
Ca te donne l'impression que :
- 1/ Dark Sun, c'est bien, mais je jouerai bien à The Umbrage Saga...tu veux pas me la faire, Sherkan ?
-2/ Ton Dark Sun, c'est sympathique, mais moi demain matin je vais ouvrir la version D&D4, la seule, la vraie l'unique...celle avec des minotaures.

[Nichal]

Merci Sherkan ! J'ai enfin la preuve que l'élément perturbateur de notre table n'est autre que le sieur Alahel
Et on a essayé d'accuser Mangelunes et Wild alors que l'évidence même était sous nos yeux

[Dokkalfar]

Le gros problème technique de Microlite 20, c'est de jouer avec un fan de C&C qui te prête la campagne The Umbrage Saga, et avec un autre qui te donne C&C ET fait exprès de te montrer la fiche automatique de D&D 4 sur ton ordinateur pour te montrer Ô combien ce jeu est facile.
Ca te donne l'impression que :
- 1/ Dark Sun, c'est bien, mais je jouerai bien à The Umbrage Saga...tu veux pas me la faire, Sherkan ?
-2/ Ton Dark Sun, c'est sympathique, mais moi demain matin je vais ouvrir la version D&D4, la seule, la vraie l'unique...celle avec des minotaures.

Meuh non, ce n'est pas du tout mon intention. Tu maitriseras à Dark Sun ET The Umbrage Saga en C&C.

Dokk', qui souhaite se dérouiller après une trop longue abstinence de jdr

[Mangelunes]

Merci Sherkan ! J'ai enfin la preuve que l'élément perturbateur de notre table n'est autre que le sieur Alahel
Et on a essayé d'accuser Mangelunes et Wild alors que l'évidence même était sous nos yeux

Mangelunes, c'est le poignard dans le dos après la partie, pas pendant, ne mélangeons pas ! En jeu, je ne suis que roleplay et motivation (enfin quand je me cogne pas la tête contre la table bien sûr)

[Arma]

Voilà un petit CR de ma partie de Vendredi soir. La partie était dans l'univers de Mousquetaire de Sang, un cape et épée occulte que je crée actuellement, fortement inspiré du roman des "Lames du Cardinal" de Pierre Pevel.



Au programme de ce scénario :
- réveil d'une reine Phénix et d'une Dragon enfermé depuis longtemps
- une forte dose de trahison avec les joueurs qui retournent leurs vestes

Un scénario explosif !

CR ici : http://mousquetaire.armaklan.org/blog/q ... s-cendres/