L'insomnie aidant, je viens de m'enquiller tout les CR depuis la première page : c'est vraiment très intéressant.
C'est pas mal écrit, les situations sont intéressantes, c'est sans doute bien joué parce qu'on imagine fort bien les personnages et de manière générale le concept de la campagne est très motivant, mais surtout, il y a dans cette histoire un souffle d'aventure comme j'en ai plus connu depuis des lustres.
Ca donne terriblement envie de jouer (même pour moi qui joue ou mène 2 à 3 fois par mois).
[CR][REIGN] A La Découverte d'un Nouveau Monde
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Sammael99
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Merci Wenlock!Wenlock a écrit :L'insomnie aidant, je viens de m'enquiller tout les CR depuis la première page : c'est vraiment très intéressant.
C'est pas mal écrit, les situations sont intéressantes, c'est sans doute bien joué parce qu'on imagine fort bien les personnages et de manière générale le concept de la campagne est très motivant, mais surtout, il y a dans cette histoire un souffle d'aventure comme j'en ai plus connu depuis des lustres.
Ca donne terriblement envie de jouer (même pour moi qui joue ou mène 2 à 3 fois par mois).
Je suggèrerais peut-être que le souffle d'aventure provient en large part du fait que les joueurs sont maîtres de la destinée de leurs personnages, en tous cas plus que pour les parties que je maîtrise habituellement.
Mozart n'a pas écrit que le Boléro de Ravel. Mais aussi plein d'autres trucs beaucoup moins connus (comme le canon de Pachelbel). - Le Grümph
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Jiohn Guilliann
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De fait, on n'est pas encore tombé dans une embuscade ;-)Sammael99 a écrit :Merci Wenlock!Wenlock a écrit :L'insomnie aidant, je viens de m'enquiller tout les CR depuis la première page : c'est vraiment très intéressant.
C'est pas mal écrit, les situations sont intéressantes, c'est sans doute bien joué parce qu'on imagine fort bien les personnages et de manière générale le concept de la campagne est très motivant, mais surtout, il y a dans cette histoire un souffle d'aventure comme j'en ai plus connu depuis des lustres.
Ca donne terriblement envie de jouer (même pour moi qui joue ou mène 2 à 3 fois par mois).
Je suggèrerais peut-être que le souffle d'aventure provient en large part du fait que les joueurs sont maîtres de la destinée de leurs personnages, en tous cas plus que pour les parties que je maîtrise habituellement.
Jiohn Guilliann
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Sammael99
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Gna gna gna !Jiohn Guilliann a écrit :De fait, on n'est pas encore tombé dans une embuscade ;-)
Jiohn Guilliann
Les embuscades c'est pour les one-shots uniquement!
(Sauf à REIGN)
Mozart n'a pas écrit que le Boléro de Ravel. Mais aussi plein d'autres trucs beaucoup moins connus (comme le canon de Pachelbel). - Le Grümph
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Wenlock
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Et ben... pas si sûr. En tous cas il ne suffit pas que les joueurs soient libres de leurs objectifs dans une campagne ouverte pour produire cette sorte d'aventure : il faut encore qu'il soient vraiment enthousiastes quant aux dits-objectifs, que ceux-ci soient clairs et moralement pas trop ambigüs, que le scénar soutienne le côté aventureux et que le contexte leur donne vraiment de l'élan.Sammael99 a écrit :Merci Wenlock!
Je suggèrerais peut-être que le souffle d'aventure provient en large part du fait que les joueurs sont maîtres de la destinée de leurs personnages, en tous cas plus que pour les parties que je maîtrise habituellement.
Je mène depuis longtemps des campagnes très ouvertes (parfois bien plus encore que ce que tu décris), mais dans des ambiances plus sombres où on ne retrouve pas guère ce souffle là. Je crois qu'il nécessite d'aborder de manière adulte le thème très "enfantin" de la découverte, le côté "youpi on va revenir en héros", etc.
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Jiohn Guilliann
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Bien que le côté "Reign" ne soit pas encore vraiment prégnant, je pense que c'est la base de l'investissement des joueurs dans leurs personnages.
En effet, on sait dès le départ que le but de notre groupe est de mettre sur pied une maison de commerce et de la gérer. On bosse donc dès le départ pour le groupe et pas seulement pour le personnage. Le fait d'avoir un but commun fait que tout le monde s'implique. Comme disent les anglais, c'est du "win-win".
Après, le côté découverte fonctionne bien aussi, encore une fois, grâce au concept de Reign. Ce n'est pas qu'une découverte pour la beauté du geste (ce qui fini toujours pas s'essouffler). C'est une découverte dans une optique commerciale. Qu'est-ce que ce nouveau continent va rapporter à la compagnie ? Comment s'affranchir des dettes du groupe et de l'influence des bailleurs de fonds ? Ce sont des questions récurrentes lors des discussions autour de la table.
Jiohn Guilliann
En effet, on sait dès le départ que le but de notre groupe est de mettre sur pied une maison de commerce et de la gérer. On bosse donc dès le départ pour le groupe et pas seulement pour le personnage. Le fait d'avoir un but commun fait que tout le monde s'implique. Comme disent les anglais, c'est du "win-win".
Après, le côté découverte fonctionne bien aussi, encore une fois, grâce au concept de Reign. Ce n'est pas qu'une découverte pour la beauté du geste (ce qui fini toujours pas s'essouffler). C'est une découverte dans une optique commerciale. Qu'est-ce que ce nouveau continent va rapporter à la compagnie ? Comment s'affranchir des dettes du groupe et de l'influence des bailleurs de fonds ? Ce sont des questions récurrentes lors des discussions autour de la table.
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Sammael99
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Sammael99
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L’après-midi est largement avancé lorsque Pierre remarque, dans la végétation qui entoure la troupe d’explorateurs, de longs fils blancs accrochés aux branches et aux épines. Il examine ces filaments, les hume, et en conclut qu’il s’agit d’un crin animal.
Henri pousse ses compagnons toujours plus avant. Il sent que le premier contact qu’il appelle de ses vœux est imminent, et cette perspective l’exalte. Martin et Pierre sont plus prudents, surtout depuis que Pierre à trouvé ces poils blancs. Il peut s’agir d’un animal inoffensif, bien sûr, mais peut-être s’agit-il d’un prédateur ?
La réponse ne tarde pas. Brutalement, Martin constate que la jungle est devenue étrangement silencieuse. Il se saisit d’une de ses lances et fait signe à Pierre d’en faire autant. Soudain, des craquements de branches se font entendre et en quelques instants, deux gigantesques silhouettes quadrumanes au pelage blanc se ruent sur la troupe.
Martin plante son épée à terre pour pouvoir s’en saisir rapidement et fiche la hampe de sa lance dans le sol, espérant embrocher un des gigantesques primates en fin de charge. Malheureusement pour lui, la créature parvient à détourner la lance d’une gigantesque main et assène l’autre paluche lourdement sur son torse. L’homme d’armes a beau être aguerri, jamais il n’a reçu un coup aussi puissant et le souffle lui en est coupé. Il lâche sa lance et agrippe de justesse son épée avant d’être repoussé en arrière par la violence du coup.
Pierre, lui, a courageusement fait face à la seconde créature. Il esquive ses pattes massives et très rapidement parvient à la blesser lourdement à la tête. C’est loin d’être suffisant pour la mettre à terre, mais il croit lire une perplexité dans le regard bestial qui lui fait face. Les marins et les mousses sont paniqués et Henri, qui parvient tout juste à garder lui-même son calme essaie d’empêcher qu’ils n’aillent se disperser. Ils les rassure en affirmant que Martin en a vu d’autres et va les sortir d’affaire.
Martin se jette à l’assaut malgré la douleur qui l’empêche presque de respirer. Il vise d'un coup magistral le torse du quadrumane, là où, pense-t’il, le cœur doit se trouver. Son estoc porte. Un homme en eut été transpercé. La créature émet un grognement de douleur, et semble un peu déviée de sa trajectoire, si bien que le coup qu’elle assène à l’épaule de l’homme d’armes manque un peu de puissance. Martin comprend que le coup aurait du lui broyer la clavicule. En l’occurrence, la douleur reste supportable pour un endurci tel que lui.
Pierre, pendant ce temps, décide de pousser son avantage - pour autant qu’on puisse le considérer ainsi - et vise la tête du primate qu’il affronte. Malheureusement, c’est une cible comparativement petite et il ne parvient pas à y ficher la pointe de sa lance. Henri commence à hurler et à jeter tout ce qui lui passe sous la main vers l’adversaire du chirurgien pour tenter de détourner son attention. Peut-être cette distraction aide-t’elle Pierre à éviter les coups titanesques qui tentent de le briser comme un morceau de petit bois.
Martin comprend qu’il ne va pas durer longtemps face au monstre. Il décide de donner tout ce qu’il a et frappe de nouveau vers le torse. Son épée tranche profond, le sang rouge sombre de la créature éclabousse son pelage blanc, et le quadrumane hurle de douleur et de rage. Le coup que Martin reçoit en retour n’est pas moins violent. Son bras gauche se casse net sous l’impact et l’homme d’armes doit faire appel à toutes ses ressources mentales pour ne pas s’évanouir sous le coup de la douleur. Il se sait proche de la fin, tout son corps se révolte et c’est sa volonté seule qui le maintient encore debout.
Pierre tente de nouveau de frapper le primate qu’il affronte à la tête, et cette fois-ci y parvient. Malheureusement pour lui, dans le même instant son adversaire le frappe également à la tête. Pierre perd immédiatement conscience et tombe au sol avant même de voir que la créature qu’il vient de frapper titube, chancelle puis s’écroule à son tour.
Martin a un voile rouge devant les yeux. Son bras gauche est baigné d'une douleur presque insoutenable et à chacune de ses respirations, son torse lui cause d’atroces élancements. Mais l’instinct du guerrier est le plus fort. Pour la troisième fois, il frappe de toutes les forces qu’il lui reste en visant le torse. Pour la troisième fois, le coup porte. Le poitrail de la bête semble n’être plus que charpie, amas de chairs ensanglantées et creusées de profonds sillons. Pourtant, elle est encore debout, et si ses mouvements sont plus lents, Martin ne parvient pas pour autant à esquiver le plat de cette main plus grande que sa tête qui vient percuter son propre torse. Il entend plus qu’il ne sent les os qui craquent, mais lorsqu’il reprend son souffle, une douleur épouvantable le transperce. Il tombe à genoux, attendant le coup de grâce.
Celui-ci ne vient pas. Le primate vient de se rendre compte que son compagnon est à terre, immobile. Il émet un gémissement affreusement triste et se saisit du corps du second primate et s’enfuit, titubant, trainant derrière lui son frère ou son compagnon.
- « Casse-toi, pleutre ! » souffle Martin avant de perdre connaissance.
Henri pousse ses compagnons toujours plus avant. Il sent que le premier contact qu’il appelle de ses vœux est imminent, et cette perspective l’exalte. Martin et Pierre sont plus prudents, surtout depuis que Pierre à trouvé ces poils blancs. Il peut s’agir d’un animal inoffensif, bien sûr, mais peut-être s’agit-il d’un prédateur ?
La réponse ne tarde pas. Brutalement, Martin constate que la jungle est devenue étrangement silencieuse. Il se saisit d’une de ses lances et fait signe à Pierre d’en faire autant. Soudain, des craquements de branches se font entendre et en quelques instants, deux gigantesques silhouettes quadrumanes au pelage blanc se ruent sur la troupe.
Martin plante son épée à terre pour pouvoir s’en saisir rapidement et fiche la hampe de sa lance dans le sol, espérant embrocher un des gigantesques primates en fin de charge. Malheureusement pour lui, la créature parvient à détourner la lance d’une gigantesque main et assène l’autre paluche lourdement sur son torse. L’homme d’armes a beau être aguerri, jamais il n’a reçu un coup aussi puissant et le souffle lui en est coupé. Il lâche sa lance et agrippe de justesse son épée avant d’être repoussé en arrière par la violence du coup.
Pierre, lui, a courageusement fait face à la seconde créature. Il esquive ses pattes massives et très rapidement parvient à la blesser lourdement à la tête. C’est loin d’être suffisant pour la mettre à terre, mais il croit lire une perplexité dans le regard bestial qui lui fait face. Les marins et les mousses sont paniqués et Henri, qui parvient tout juste à garder lui-même son calme essaie d’empêcher qu’ils n’aillent se disperser. Ils les rassure en affirmant que Martin en a vu d’autres et va les sortir d’affaire.
Martin se jette à l’assaut malgré la douleur qui l’empêche presque de respirer. Il vise d'un coup magistral le torse du quadrumane, là où, pense-t’il, le cœur doit se trouver. Son estoc porte. Un homme en eut été transpercé. La créature émet un grognement de douleur, et semble un peu déviée de sa trajectoire, si bien que le coup qu’elle assène à l’épaule de l’homme d’armes manque un peu de puissance. Martin comprend que le coup aurait du lui broyer la clavicule. En l’occurrence, la douleur reste supportable pour un endurci tel que lui.
Pierre, pendant ce temps, décide de pousser son avantage - pour autant qu’on puisse le considérer ainsi - et vise la tête du primate qu’il affronte. Malheureusement, c’est une cible comparativement petite et il ne parvient pas à y ficher la pointe de sa lance. Henri commence à hurler et à jeter tout ce qui lui passe sous la main vers l’adversaire du chirurgien pour tenter de détourner son attention. Peut-être cette distraction aide-t’elle Pierre à éviter les coups titanesques qui tentent de le briser comme un morceau de petit bois.
Martin comprend qu’il ne va pas durer longtemps face au monstre. Il décide de donner tout ce qu’il a et frappe de nouveau vers le torse. Son épée tranche profond, le sang rouge sombre de la créature éclabousse son pelage blanc, et le quadrumane hurle de douleur et de rage. Le coup que Martin reçoit en retour n’est pas moins violent. Son bras gauche se casse net sous l’impact et l’homme d’armes doit faire appel à toutes ses ressources mentales pour ne pas s’évanouir sous le coup de la douleur. Il se sait proche de la fin, tout son corps se révolte et c’est sa volonté seule qui le maintient encore debout.
Pierre tente de nouveau de frapper le primate qu’il affronte à la tête, et cette fois-ci y parvient. Malheureusement pour lui, dans le même instant son adversaire le frappe également à la tête. Pierre perd immédiatement conscience et tombe au sol avant même de voir que la créature qu’il vient de frapper titube, chancelle puis s’écroule à son tour.
Martin a un voile rouge devant les yeux. Son bras gauche est baigné d'une douleur presque insoutenable et à chacune de ses respirations, son torse lui cause d’atroces élancements. Mais l’instinct du guerrier est le plus fort. Pour la troisième fois, il frappe de toutes les forces qu’il lui reste en visant le torse. Pour la troisième fois, le coup porte. Le poitrail de la bête semble n’être plus que charpie, amas de chairs ensanglantées et creusées de profonds sillons. Pourtant, elle est encore debout, et si ses mouvements sont plus lents, Martin ne parvient pas pour autant à esquiver le plat de cette main plus grande que sa tête qui vient percuter son propre torse. Il entend plus qu’il ne sent les os qui craquent, mais lorsqu’il reprend son souffle, une douleur épouvantable le transperce. Il tombe à genoux, attendant le coup de grâce.
Celui-ci ne vient pas. Le primate vient de se rendre compte que son compagnon est à terre, immobile. Il émet un gémissement affreusement triste et se saisit du corps du second primate et s’enfuit, titubant, trainant derrière lui son frère ou son compagnon.
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Mozart n'a pas écrit que le Boléro de Ravel. Mais aussi plein d'autres trucs beaucoup moins connus (comme le canon de Pachelbel). - Le Grümph
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Sammael99
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Alors là, je suis un peu deg'!
On a au moins trente questions sur "comment ça se passe les combats" depuis le début du thread, et enfin quand je poste la narration d'un putain de combat des familles épique qui tue (littérallement) et tout, pas une question, pas un commentaire, queue de chique.
Puisque c'est comme ça, je retiens ma respiration...
(Et je vous posterais le nouveau dessin de Pierrick seulement quand il y aura plein de commentaires!!!)
On a au moins trente questions sur "comment ça se passe les combats" depuis le début du thread, et enfin quand je poste la narration d'un putain de combat des familles épique qui tue (littérallement) et tout, pas une question, pas un commentaire, queue de chique.
Puisque c'est comme ça, je retiens ma respiration...
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Mozart n'a pas écrit que le Boléro de Ravel. Mais aussi plein d'autres trucs beaucoup moins connus (comme le canon de Pachelbel). - Le Grümph
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Wenlock
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CANARD
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Tu n'y es pas allé de mains mortes! 
Tu voulais cloturer la campagne?
Moi la technique sous-jacente ne m'intéresse pas trop! C'est le rendu qui me plait bien! Franchement ils ont eu de la chance. On a l'impression que chaque coup peut-être mortel dans un camp comme dans l'autre!
Tu voulais cloturer la campagne?
Moi la technique sous-jacente ne m'intéresse pas trop! C'est le rendu qui me plait bien! Franchement ils ont eu de la chance. On a l'impression que chaque coup peut-être mortel dans un camp comme dans l'autre!
Canard
Les règlements doivent s'adapter à la situation et non l'inverse.
La sagesse suprême est d'avoir des rêves assez grands pour ne pas les perdre du regard tandis qu'on les poursuit. Faulkner
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Akhad
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Sammael99
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J'en connais un qui va se manger du primate bis repetitam!!!Akhad a écrit :Ne cédez pas, il nous fait juste un petit capriceSammael99 a écrit :Puisque c'est comme ça, je retiens ma respiration...
Mozart n'a pas écrit que le Boléro de Ravel. Mais aussi plein d'autres trucs beaucoup moins connus (comme le canon de Pachelbel). - Le Grümph