Musique ou musiques ? ou du punk, de la tekno ou de la variété

[Fabfab]

Sérieux, vous avez embauché un tourneur ?

Nope, juste des heures et des heures de recherche, contacts, recontacts, relances, réseau, lobbying et pots de vins.

[Kandjar]

Le boulot d'un tourneur quoi...

[Fabfab]

C'est ça.
Mais c'est pas moi qui fait. 

Moi je vais juste jouer gratos dans des rades.

[Gridal]

Si vous avez écouté un jour du rock français vous connaissez forcément le nom de François Poulain. Il est l'un des photographes attitrés de la scène alternative depuis les années 80.
L'éditeur Archives de la Zone Mondiale lance une précommande pour Indociles, un recueil de photos de concerts de 336 pages, allant de 1987 à 2007.

L'inventaire de son oeuvre est logiquement constitué de "l'âge d'or" du rock alternatif, sans oublier quelques légendes internationales : Parabellum, les Thugs, les Sheriff, les Wampas, Babylon Fighters, Little Bob, Burning Heads, les Nonnes Troppo, Infraktion, les Rats, The Cramps, Bérurier Noir, les Négresses Vertes, Negu Gorriak, les Garçons Bouchers, Zebda, Washington Dead Cats, Massilia Sound System, Ludwig Von 88, Assassin, les Cadavres, FFF, Lofofora, Henry Rollins, Mass Hysteria, Pigalle, OTH, Drive Blind, Nuclear Device, Mano Negra, les Tambours du Bronx, les VRP, Dirty District, Happy Drivers, Raymonde & les Blancs Becs, Shredded Ermines, les Naufragés, Dileurs, les Casse-pieds, Specimen, Litfiba, Têtes Raides, Molodoï, Los Mescaleros et des dizaines d'autres à (re)découvrir tout au long du livre !

Ça se passe en ce moment sur Kiss Kiss Bank Bank.

[Erwan G]

J'ai des voisins pénibles qui se sont offert un jacuzzi gonflable de chez Action. Ils sont donc obligés de beugler pour se parler, c'est insupportable.

Pour tenter de couvrir leurs nuisances, j'ai voulu écouter Use Your Illusion I.

Autant je voie un culte à Apetite for Destruction, autant je ne comprends toujours pas UYI.

[rougepied]

Je continue dans ma déchéance toujours plus loin dans la lie de la musique : la musique électronique.
(je dis ça parce que fut une époque lointaine, bien avant de m’y intéresser, c’est pas loin de ce que je devais penser)

Donc, je tombe sur cette vidéo de Jeremy Blake de la chaine Youtube Red Means Recording(¤), vidéo qui retrace l’histoire de la Drum & Bass.


Et Jeremy y fait référence à ce site qui est une véritable mine d’or !
Une cartographie très complète des différents courants musicaux qui compose les musiques électroniques, en partant de la musique concrète du milieu du XXe siècle, de John Cage… jusqu’au Breakcore, à la Deephouse, la Synthwave, la Glitchtrance… et plein de trucs aux noms improbables(*) en passant par la Cheaptune, la Trance et l’Indus.

http://music.ishkur.com/#

(*: j’ai pas cherché s’il existait un générateur de nom de genre musical. Mais si ça n’a pas été fait, ça mériterait de l’être. Et ça ne devrait pas être super difficile)
(¤: sur un autre aspect de la musique électronique, je vous conseille aussi sa vidéo Your Synthesizer Is Trans (and Other Stories))

[cdang]

Autant je voie un culte à Apetite for Destruction, autant je ne comprends toujours pas UYI.

Il y a quelques morceaux très potables quand même : Right Next Door to Hell, Don't Cry, November Rain, et la reprise de Live and Let Die est correcte. Mais c'est vrai qu'il ne laisse pas beaucoup de souvenir après écoute.

[cdang]

Hier soir (mercredi), la jam du Bistrot était précédée d'une session slam. Des slammeuses on proposé qu'on les accompagne, piano + hautbois. C'était très sympa de jouer en contrepoint des strophes, en essayant de souligner l'ambiance du texte et le rythme de la scansion.

[Erwan G]

Autant je voie un culte à Apetite for Destruction, autant je ne comprends toujours pas UYI.

Il y a quelques morceaux très potables quand même : Right Next Door to Hell, Don't Cry, November Rain, et la reprise de Live and Let Die est correcte. Mais c'est vrai qu'il ne laisse pas beaucoup de souvenir après écoute.

November Rain m'a toujours emmerdé et je trouve la reprise de Live and Let Die assez anecdotique et trop trop longue. J'aime vraiment le glam rock de Apetite et leurs constructions de morceaux. Welcome to the Jungle, Paradise City, Night Train, Sweet Child of Mine sont iconiques et valent largement un Iron Man ou un Symptom of the Universe (même si elles ne sont pas le point de bascule d'un style vers un autre). Pour moi, c'est le pinacle du glam rock.

NB. Après, je ne suis pas un fan de glam. Les Guns, c'est ce que j'arrive à écouter sans m'ennuyer, au moins sur Apetite.

[cdang]

J'aurai une fois dans ma vie vu du Black Sabbath dans la même phrase que le mot glam

[Erwan G]

Je ne classais pas Black Sabbath dans le glam mais ma formulation est quelque peu hasardeuse.

[Ganelon]

http://music.ishkur.com/#

Une référence qui, de plus, est assez rigolote.
Aussi, je ne sais pas si quelqu'un l'a déjà cité mais sur Arte le doc en 6 parties sur Dj Mehdi est très intéressant, sinon émouvant. Le gars s'est baladé comme un vrai producteur artistique de génie du rap à l'électro.
https://www.arte.tv/fr/videos/119468-00 ... rance-1-6/

[rougepied]

Aussi, je ne sais pas si quelqu'un l'a déjà cité mais sur Arte le doc en 6 parties sur Dj Mehdi est très intéressant, sinon émouvant. Le gars s'est baladé comme un vrai producteur artistique de génie du rap à l'électro.
https://www.arte.tv/fr/videos/119468-00 ... rance-1-6/

Ce documentaire en 6 parties est super bien fait. Le montage est vraiment bien. Le sujet, les témoignages, tout. Je l’ai binge watch en 2 soirées (parce que j’avais d’autres impératifs, sinon j’y passais la nuit)

[Sammael99]

Autant je voie un culte à Apetite for Destruction, autant je ne comprends toujours pas UYI.

Il y a quelques morceaux très potables quand même : Right Next Door to Hell, Don't Cry, November Rain, et la reprise de Live and Let Die est correcte. Mais c'est vrai qu'il ne laisse pas beaucoup de souvenir après écoute.

Appetite est le seul album des Guns que j'ai gardé (en fait je l'ai même revendu puis racheté 15 ans après). Il y a une énergie dessus qu'on ne retrouve plus par la suite en effet. J'avais des bons souvenirs de Coma (mais c'est peut-être UYA II ?) mais à la réécoute, c'est vraiment facile. J'ai sans doute écouté trop de prog depuis pour être emporté par un petit clin d'oeil vaguement proguesque.

Bon, par contre Sweet Child of Mine n'a pas survécu au fil du temps, j'en ai peur. C'est quoi le truc avec les métalleux américains et les bluettes ?

[Fabfab]

Bon, par contre Sweet Child of Mine n'a pas survécu au fil du temps, j'en ai peur. C'est quoi le truc avec les métalleux américains et les bluettes ?

Je ne parlerai pas des GnR qui ne m'ont jamais intéressé, mais cette chanson en particulier a été reprise par le formidable groupe Luna. Et c'est là qu'on voit toute la différence entre le corps d'une chanson et son interprétation au sens large (arrangements, sons des instruments et des voix, etc...) : chez GnR elle dégouline de façon ostentatoire (et, pour moi, putassière), chez Luna elle scintille la grande classe.
C'est toute la magie des reprises : révéler que derrière un visage crasseux peut se cacher la plus belle des personnes... ou l'inverse!