Je suis partagé sur ce conseil... D'un côté, c'est vrai qu'on peut à peu près tout trouver dans D&D côté monstres, c'est plein d'inspirations tout ça.
En revanche, un bémol que j'y mettrais, c'est le parfois désir des joueuses d'émuler au mieux un "monstre du manuel" avec un plan sur plusieurs niveaux pour acquérir une à une les capacités spéciales. C'est pas une critique en soi de l'approche, on s'est bien marrés à jouer des monstres iconiques et l'utilisation de l'#aspect permet notamment de ne pas avoir juste le monstre de base. Mais le revers est qu'on reste sur des stéréotypes de D&D alors qu'on peut faire tant de choses...
Car j'ai également joué avec des Pjs qui ne connaissaient absolument rien de l'univers D&D et ils m'ont fait des monstres tout à fait intéressants, justement parce qu'ils sortaient des "clous". Comme m'a dit une spectatrice: "quoi ? On peut même jouer un Shoggoth ?" Ce serait donc vraiment dommage de se limiter à l'univers D&D.
Donc même s'il y a beaucoup de sources d'inspirations dans D&D, mon approche aujourd'hui serait plutôt de dire "venez comme vous êtes, choisissez un monstre que vous kiffez (Jdr, roman, cinéma...): D&C est de toutes façons un employeur inclusif, donc ça passe".
P.S. : bravo pour le Grog de Juillet, c'est toutafé mérité !