CasusNO

Toutes les bonnes choses ont une fin, malheureusement...

Je ne vois pas de quoi vous parlez.

Je suis rassuré

wonder coco a écrit : ↑mar. oct. 21, 2025 4:59 am Je pensais plus à des livres/blogs/sites dédiés au sujet et surtout bien foutu. Je ne sais pas forcement jugé de la pertinence de ce que je lis avec ma licence de psychologie de comptoir option mec bourré.

Moi, j'ai 50 ans passé et je ne crois pas être passé par la crise de la quarantaine. J'ai bien divorcé cet été mais c'est plus mon ex qui a fait sa crise je pense.

En fait, le terme est trop flou pour moi pour que ça mérite un quelconque conseil de ma part. Et si tu explicites ta demande et que je te fais un conseil, je t'invite à ne pas le suivre.

Sinon, si tu cherches des conseils de développement personnel, il y a ça :

https://www.editionslitos.fr/product/12 ... mier-coup/

Le meilleur conseil que l'on puisse donner en matière de développement personnel est de fuir le développement personnel.

C'est un ramassis de bullshit toxique.

wonder coco a écrit : ↑lun. oct. 20, 2025 9:03 pm Moi, moi, moi!

Je viens de découvrir que j'ai un golden ticket sur la crise de la quarantaine. Quelqu'un a des ressources intéressantes sur le sujet.

Ah, c'est comme ce témoignage, là...

Au milieu du chemin de notre vie
je me retrouvai dans une forêt obscure,
dont la route droite était perdue...



Le bouquin du type a eu un vrai succès. Mais je crois qu'il exagérait un peu : la quarantaine, c'est pas forcément l'enfer...

Je ne cherche pas de truc de développement personnel mais plutot de vulgarisation de psychologie. Étayé et cohérent. Pas un truc de secte ou je sais pas quelle connerie.

La crise de la quarantaine c'est une crise existentielle, avec plus ou moins de dommages collatéraux (au choix: conjoint, enfants, travail, amis, maîtresse, etc).

Vu les 2 derniers mois que je viens de faire subir a mon entourage, je me dis que me renseigner peut être utile pour limiter la casse. Et passer à la suite aussi.

Quand à ce que dit Erwan concernant le mariage, etant politiquement contre le mariage c'est un choix partagé de ne pas s'être marié mais par contre avec enfants jeunes et maison en copropriété, l'absence de mariage ne simplifiera rien. Surtout si ca finit par exploser en mode Seveso.

Je ne sais pas s'il y a de bons bouquins spécifiques à la crise de la quarantaine, mais des bouquins sur le sens à trouver dans sa vie, il y en a plein les rayons philo ! 
Comme certains musiciens marseillais, je dirai simplement que "le bonheur est dans l'action !".

wonder coco a écrit : ↑mar. oct. 21, 2025 4:46 pm

Quand à ce que dit Erwan concernant le mariage, etant politiquement contre le mariage c'est un choix partagé de ne pas s'être marié mais par contre avec enfants jeunes et maison en copropriété, l'absence de mariage ne simplifiera rien. Surtout si ca finit par exploser en mode Seveso.

Je ne comprends pas ce qui fait que l'on peut être politiquement contre le mariage, qui n'est qu'un mode juridique d'organisation patrimoniale de la famille. Le religieux, l'église et tout ça, je comprends bien.

Mais je comprends qu'on puisse faire le choix de ne pas opter pour le mariage. Mais, comme tu le dis, c'est plus compliqué avec des biens et des enfants (notamment pour l'attribution du domicile familiale).

Le progrès c'est l'union libre sans l'œil du religieux sur ce que tu fais ou la version républicaine qui singe le mariage-sacrement pour lutter contre la toute puissance de l'Eglise il y a 150 ans.

Bref je suis très très à gauche.

wonder coco a écrit : ↑mar. oct. 21, 2025 5:53 pm Le progrès c'est l'union libre sans l'œil du religieux sur ce que tu fais ou la version républicaine qui singe le mariage-sacrement pour lutter contre la toute puissance de l'Eglise il y a 150 ans.

Bref je suis très très à gauche.

Une fois n'est pas coutume nous sommes d'accord je suis aussi anti-mariage   (Mais bon, ma défiance envers le droit moyen du pouvoir est forte)
Le contrat n'est, pour moi, toujours qu'un acte de défiance, qui implique que l'autre veut ou va te baiser et qu'il faut t'en prémunir. Avec une personne avec qui je suis sensé finir ma vie, ça me parait hors de propos.
Dis autrement, quand la poignée de main ne suffit pas c'est à se demander si ça vaut le coup de faire un accord.
 

Harfang2 a écrit : ↑mar. oct. 21, 2025 5:59 pm

wonder coco a écrit : ↑mar. oct. 21, 2025 5:53 pm Le progrès c'est l'union libre sans l'œil du religieux sur ce que tu fais ou la version républicaine qui singe le mariage-sacrement pour lutter contre la toute puissance de l'Eglise il y a 150 ans.

Bref je suis très très à gauche.

Une fois n'est pas coutume nous sommes d'accord je suis aussi anti-mariage   (Mais bon, ma défiance envers le droit moyen du pouvoir est forte)
Le contrat n'est, pour moi, toujours qu'un acte de défiance, qui implique que l'autre veut ou va te baiser et qu'il faut t'en prémunir. Avec une personne avec qui je suis sensé finir ma vie, ça me parait hors de propos.
Dis autrement, quand la poignée de main ne suffit pas c'est à se demander si ça vaut le coup de faire un accord.
 

Je sais pas si je suis toujours en désaccord avec toi mais la on est très très raccord.

Les quarantièmes rugissants et les cinquantièmes hurlants. 
Pacsé simplement et non marié, on est passé devant le notaire pour à peu près tout parce que sans se méfier de la personne avec qui tu t'engages, la vie, les collègues, la famille ont montré des exemples que ce qui peut durer toute la vie peut partir en eau de boudin. 
Ou le truc con de me retrouver en coloc avec son ex parce qu'il est parent de sa fille si elle décède. 

En essayant d'éviter la leçon de morale, la première question qui se pose serait de savoir si ta vie actuelle te convenait ou si elle n'a plus de sens en tant que couple. Continuer à faire semblant pour les enfants avec un passif dans le placard ou refaire une vie qui ne soit pas "prisonnière" de ton choix d'il y a X années. Y'a pas de bonne réponse.

Ensuite viendra la phase de réparation ou de séparation et là faudra deux adultes et beaucoup de dialogues ou explications pour faire le moins de dégâts possibles sur ceux dont ce n'est pas le choix.
Vulgariser la psychologie ? Trouver un bon psy pour avant, pendant ou après pour soi ou les deux selon les besoins. 

 

Moi je pense que @wonder coco blague. La crise de la quarantaine n'existe pas sûr Casus No parce qu'on est tous bien plus vieux pour ça.
Blague à part, je rejoins @eskhiss se faire aider par quelqu'un de compétent quand on ressent le besoin de faire le point sur sa vie ne peut pas faire de mal.
Sinon, il y a toujours la littérature, la vraie, celle qui aide à vivre. Pourquoi pas te plonger dans Vassili Grossmann (pour ce qu'implique de vivre en être humain), Emmanuel Carrère (dont la vie littéraire semble être une crise de la quarantaine qui aurait trop duré) ou les Sopranos ?

@Orlov pourquoi les sopranos (je n'ai pas vu la série) ?