Re: [CR] la grande campagne Pendragon
Publié : sam. oct. 07, 2023 12:37 pm
Reprise de la campagne Pendragon : Anno Dei 521
Reprise de la campagne de Pendragon, année 521, campagne débuté il y a quatre ans en 485, doit la 36 année en terme de jeu.
- Aurelius de Cheval Blanc, fils de l'un des personnage initiaux
- James de Blacktower, fils de l'un des personnages initiaux
- Doha de Gooderstone, qui fut écuyer de l'un des personnages initiaux
Plaisir de reprendre cette campage après quelques escapades Hawkmoonienne, Pathfinderienne et d'autres one-shot.
Or donc, la disparition d'Arthur lors d'un chasse vit se réunir en hâte les chevaliers de la table ronde présent et une quête lancée par Baudoin de bretagne, ancien chevalier et evêque devenu chapelain de la table ronde.
James et Doha n'étaient pas présent a la cour d'Hiver et ce fut Aurelius qui vint les trouver après avoir appris de son père, marcus, parti en quête avec Gauvain, de la disparition du Roi.
Nos trois compères réunis au manoir des Roses*, en lisière de l'autremonde, par son épouse de James de Blacktower, se décidèrent a partir a la recherche de la reine des Terres Gastes, chrétienne de renom retiré au coeur de la forêt périlleuse.
Comme à chaque fois, rien ne se passa comme prévu en ses terres et, après avoir résisté aux tentations de participer à un Tournoi à Lestroites, dont le seigneur leur est redevable, après avoir évité l'Abbaye maudite dont ils se souvenaient et d'avoir renoncé à l'Hospitalité d'un manoir, ils furent sensibles aux appels de détresse d'une demoiselle faë des cours de lumières qu'ils trouvèrent assise sur l'encolure de Sir Cynfein, chevalier faë des cours de ténèbres. Si, après palabres et hésitations, le sire Doha se décidait à disputer la demoiselle au Sire Cynfein (qui venait de la sauver de l'attaque d'une demi-douzaine de brigands mais s'avérait en train de la contraindre à une hospitalité courtoise, mais forcée à la grande crainte de cette dernière)
Sire Cynfein accepta le défi mais le repoussa à plus tard leur accordant l'hospitalité; A sa suite ils entrèrent donc dans un domaine féérique et profitèrent de l'hospitalité du sire. les étonnement furent grands en ce château à l'architecture élancée, aux aménagements inconnus et à la maisnie composé de nains; Bien vite, ils apprirent que le seigneur était invincible muni d'une armure de grande valeur et d'une épée trempée dans le sang d'un ver dont la moindre estafilade empoisonnait le sang. Cynfeinn s'avéra un hôte complexe, à la fois sincère, mais sans honneur, courtois, mais sans cœur, délicat, mais cruel. Des échanges eurent lieu sur l'amour ou l'on opposa les questions de pouvoirs, de partage, de domination, de désir et d'abandon. Les positions étaient irréconciliables. Pour autant le sire Faê s'avéra un fauconnier passionné et, finalement, informé d'une légende concernant l'Oiseau-lyre et se décidant de jouer sur les capacité de Sire Aurelius, dont la famille, depuis plusieurs générations est passionné de fauconnerie, se dessina l'idée de le défier non à l'épée mais à la chasse au rapace.
Une quête amena Aurelius et Doha a rencontrer l'oiseau après avoir évité un combat avec l'écuyer de sire Cynfein, un nain, arguant de l'amitié naissante entre Cynfein et Aurelius, tout autant des lois de l'Hospitalité, passé des abimes vertigineux et franchi, par foi ou amour, ce qu'ils croyaient être un fleuve de lave. L'oiseau, qui leur apparut tout d'abord comme une jeune fille se lia a eux, grâce aux mots justes d'Aurelius;
Dès le soir, Cynfein accepta leur défi de fauconnerie et le lendemain fut vaincu; Celui-ci tint parole tout en leur demandant de quitter rapidement ses terres, préférant les protéger ainsi de sa rancune.
Aurelius se sépara de cette oiseau lyre a la longue trainée rouge.
Ils raccompagnèrent la jeune fille et festoyèrent aux pavillons de chasse de la cour elfique pour qui quelques heures seulement s'étaient écoulés. L'amour de Doha pour la jeune femme fut déclaré et, devant le choix que lui laissait la jeune femme - une nuit avec elle ou la promesse d'une amour à venir - choisi l'amour à venir (il doit se marier bientôt), elle lui précisa que son choix était le bon et que l'amour des fées fini par rendre la folie ou l'amour. Utilisera-t-il le philtre d'amour qu'on lui a confié pour sa nuit de noces?
Ils ressortirent ensuite, apprenant les divers événements de l'année puisque six mois s'étaient écoulés alors qu'ils n'avaient cru passer que quelques semaines.
Une belle partie ou pas un combat n'eut lieu, les personnages ayant évité les dangers et ayant préféré gérer avec intelligence et empathie.
NB: Autant j'aime les aventures guerrières pleine de bruit et de fureur de Pendragon, autant il est appréciable de voir, aussi, les personnages savoir évoluer sans cette violence qui marque la vie du guerrier et incarner, ainsi, le chevalier.
* Issue de l'antique aventure du Blanc-cerf, James ayant épousé Flora héritière de ce lieu.
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Dernière modification par Harfang2 le lun. sept. 18, 2023 7:05 pm, modifié 3 fois.
Reprise de la campagne de Pendragon, année 521, campagne débuté il y a quatre ans en 485, doit la 36 année en terme de jeu.
- Aurelius de Cheval Blanc, fils de l'un des personnage initiaux
- James de Blacktower, fils de l'un des personnages initiaux
- Doha de Gooderstone, qui fut écuyer de l'un des personnages initiaux
Plaisir de reprendre cette campage après quelques escapades Hawkmoonienne, Pathfinderienne et d'autres one-shot.
Or donc, la disparition d'Arthur lors d'un chasse vit se réunir en hâte les chevaliers de la table ronde présent et une quête lancée par Baudoin de bretagne, ancien chevalier et evêque devenu chapelain de la table ronde.
James et Doha n'étaient pas présent a la cour d'Hiver et ce fut Aurelius qui vint les trouver après avoir appris de son père, marcus, parti en quête avec Gauvain, de la disparition du Roi.
Nos trois compères réunis au manoir des Roses*, en lisière de l'autremonde, par son épouse de James de Blacktower, se décidèrent a partir a la recherche de la reine des Terres Gastes, chrétienne de renom retiré au coeur de la forêt périlleuse.
Comme à chaque fois, rien ne se passa comme prévu en ses terres et, après avoir résisté aux tentations de participer à un Tournoi à Lestroites, dont le seigneur leur est redevable, après avoir évité l'Abbaye maudite dont ils se souvenaient et d'avoir renoncé à l'Hospitalité d'un manoir, ils furent sensibles aux appels de détresse d'une demoiselle faë des cours de lumières qu'ils trouvèrent assise sur l'encolure de Sir Cynfein, chevalier faë des cours de ténèbres. Si, après palabres et hésitations, le sire Doha se décidait à disputer la demoiselle au Sire Cynfein (qui venait de la sauver de l'attaque d'une demi-douzaine de brigands mais s'avérait en train de la contraindre à une hospitalité courtoise, mais forcée à la grande crainte de cette dernière)
Sire Cynfein accepta le défi mais le repoussa à plus tard leur accordant l'hospitalité; A sa suite ils entrèrent donc dans un domaine féérique et profitèrent de l'hospitalité du sire. les étonnement furent grands en ce château à l'architecture élancée, aux aménagements inconnus et à la maisnie composé de nains; Bien vite, ils apprirent que le seigneur était invincible muni d'une armure de grande valeur et d'une épée trempée dans le sang d'un ver dont la moindre estafilade empoisonnait le sang. Cynfeinn s'avéra un hôte complexe, à la fois sincère, mais sans honneur, courtois, mais sans cœur, délicat, mais cruel. Des échanges eurent lieu sur l'amour ou l'on opposa les questions de pouvoirs, de partage, de domination, de désir et d'abandon. Les positions étaient irréconciliables. Pour autant le sire Faê s'avéra un fauconnier passionné et, finalement, informé d'une légende concernant l'Oiseau-lyre et se décidant de jouer sur les capacité de Sire Aurelius, dont la famille, depuis plusieurs générations est passionné de fauconnerie, se dessina l'idée de le défier non à l'épée mais à la chasse au rapace.
Une quête amena Aurelius et Doha a rencontrer l'oiseau après avoir évité un combat avec l'écuyer de sire Cynfein, un nain, arguant de l'amitié naissante entre Cynfein et Aurelius, tout autant des lois de l'Hospitalité, passé des abimes vertigineux et franchi, par foi ou amour, ce qu'ils croyaient être un fleuve de lave. L'oiseau, qui leur apparut tout d'abord comme une jeune fille se lia a eux, grâce aux mots justes d'Aurelius;
Dès le soir, Cynfein accepta leur défi de fauconnerie et le lendemain fut vaincu; Celui-ci tint parole tout en leur demandant de quitter rapidement ses terres, préférant les protéger ainsi de sa rancune.
Aurelius se sépara de cette oiseau lyre a la longue trainée rouge.
Ils raccompagnèrent la jeune fille et festoyèrent aux pavillons de chasse de la cour elfique pour qui quelques heures seulement s'étaient écoulés. L'amour de Doha pour la jeune femme fut déclaré et, devant le choix que lui laissait la jeune femme - une nuit avec elle ou la promesse d'une amour à venir - choisi l'amour à venir (il doit se marier bientôt), elle lui précisa que son choix était le bon et que l'amour des fées fini par rendre la folie ou l'amour. Utilisera-t-il le philtre d'amour qu'on lui a confié pour sa nuit de noces?
Ils ressortirent ensuite, apprenant les divers événements de l'année puisque six mois s'étaient écoulés alors qu'ils n'avaient cru passer que quelques semaines.
Une belle partie ou pas un combat n'eut lieu, les personnages ayant évité les dangers et ayant préféré gérer avec intelligence et empathie.
NB: Autant j'aime les aventures guerrières pleine de bruit et de fureur de Pendragon, autant il est appréciable de voir, aussi, les personnages savoir évoluer sans cette violence qui marque la vie du guerrier et incarner, ainsi, le chevalier.
* Issue de l'antique aventure du Blanc-cerf, James ayant épousé Flora héritière de ce lieu.
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