CasusNO

Comme quoi c'était une bonne idée

Ah ben oui, ça me fait même plaisir de voir que quelqu'un d'autre à compris le clin d'oeil de mon titre.

Au fait : il est très bien, ce scénario, dans le genre "situation impossible où quoi que fassent les gardoches, à la fin, quelqu'un leur jettera des choux pourris dans la rue."

Tiens une petite question au passage...

Je dois bientôt démarrer ma première partie de Wastburg... et je vais avoir trois femmes à ma table.
Hors l'idée de jouer des personnages masculins ne les enchante pas plus que ça...
Est ce que vous voyez un soucis à ce qu'il y ait des femmes dans la garde ?
Le fait que ce soit une exception peut explique le qu'on ait choisi de les affecter toutes au même quartier.
Est ce que certains d'entre vous se sont déjà posé cette question ? Et comment y avez vous répondu ?

Facile à gérer : Un point de FATE offert par blague mysogine de la part des gardoches mâles. Ambiance garantie et authentique.

Tu dis aux joueuses qu'elles jouent des femmes. En fait, ce sont trois frères qui sont intimement persuadés d'être des femmes (encore une conséquence de la déglingue). Et tu fais ton scénario alors qu'un nombre toujours plus important de loritains se travestissent en femme. Tout le monde prend les PJ des joueuses pour des loritains. Ils sont donc tous affectés au même quartier.

Amaranthe a écrit :Tiens une petite question au passage...

Je dois bientôt démarrer ma première partie de Wastburg... et je vais avoir trois femmes à ma table.
Hors l'idée de jouer des personnages masculins ne les enchante pas plus que ça...
Est ce que vous voyez un soucis à ce qu'il y ait des femmes dans la garde ?
Le fait que ce soit une exception peut explique le qu'on ait choisi de les affecter toutes au même quartier.
Est ce que certains d'entre vous se sont déjà posé cette question ? Et comment y avez vous répondu ?

Il me semble qu'un des scénarios du premier supplément posait justement la question en rajoutant des gardoche-euh-s.
J'imagine qu'il est assez intéressant de faire du sexisme une problématique du jeu, on imagine bien le machisme et l'affirmation permanente d'une virilité alcoolisée et vulgaire chez les gardoches.

Après la question est plus large que pour Wastburg mais je connais pas mal de joueuses qui n'ont pas très envie de jouer des PJs victimes du machisme. Les problématiques de sexismes font des sujets de scénarios intéressants mais je me rends compte qu'elles sont surtout présentes dans mes parties quand je n'ai pas de joueuse à ma table.
La solution, certes fictionnellement un peu faible, peut tout simplement être d'oublier le machisme de l'univers et faire comme si personne n'en avait rien à foutre qu'on ait des gardoches avec deux bosses sur la poitrine et aucune entre les jambes.

Je serai de l'avis de Steve. Jouer des PJ femmes "prive" les joueuses d'un scénario, encore que tu peux l'adapter facilement... La vraie question, c'est effectivement de savoir si elles sont OK pour jouer dans un univers sexiste (il est possible que l'univers sexiste dans lequel elles vivent leur suffise). Si non, on fait comme si Wastburg n'avait pas de problème avec ça, et hop. Ça ne change rien au jeu.
Et au pire, il te reste toujours la problématique du racisme avec les loritains, hein.

***

Sinon Droits dans leurs bottes est sorti, je l'ai dans les mains, il est beau comme un premier enfant.
Et j'ai déjà repéré deux coquilles, je vais me suicider.

Amaranthe a écrit :Tiens une petite question au passage...

Je dois bientôt démarrer ma première partie de Wastburg... et je vais avoir trois femmes à ma table.
Hors l'idée de jouer des personnages masculins ne les enchante pas plus que ça...
Est ce que vous voyez un soucis à ce qu'il y ait des femmes dans la garde ?
Le fait que ce soit une exception peut explique le qu'on ait choisi de les affecter toutes au même quartier.
Est ce que certains d'entre vous se sont déjà posé cette question ? Et comment y avez vous répondu ?

Comme mes camarades : au besoin, tu peux partir du principe que la Garde n'est pas sexiste.
Surtout que la fin du roman te permet de justifier la nécessité pour la Garde de recruter dans un nouveau bassin de la population.

Pars du principe que les femmes représentent des recrues à type expérimental et que du coup, elles ont du poids sur les épaules.
De même, leur échevin est chargé que cela se passe bien et met la pression sur les hommes pour qu'elles soient intégrées

Dans Fleur de Purge, y'a des Matonnes. Bon, ça fait des scénarios au scope très précis... Dans le même genre, pourrait y avoir une brigade spécialisée dans les mœurs.

Une idée : leurs donner l'occasion d'acquérir une réputation de dure à cuire au court du premier scénario, de sorte que leurs collègues et le péquin moyen ne la ramènent pas trop. Cela laisse l'occasion de faire intervenir le sexisme, mais ce ne sera pas systématique.

On me glisse dans l'oreillette que L'Opéra de Quat'gelders sera un 64 pages, alors que la commande initiale portait sur un 32 pages.

J'ai débordé, comme toujours, mais je pensais que ça tiendrait en 48 pages.

Ca doit être à cause des dessins de Rolland

T.

Tristan a écrit :On me glisse dans l'oreillette que L'Opéra de Quat'gelders sera un 64 pages, alors que la commande initiale portait sur un 32 pages.

J'ai débordé, comme toujours, mais je pensais que ça tiendrait en 48 pages.

Ca doit être à cause des dessins de Rolland

T.

C'est dingue comme un jeu qui reseemblait à un tout en un se transforme en gamme prolifique et surprenante. Ca donne envie d'écrire pour le jeu

Solaris a écrit : C'est dingue comme un jeu qui reseemblait à un tout en un se transforme en gamme prolifique et surprenante.

1) Cédric fait ce qu'il faut pour ça.
2) Le cadre s'y prête.
3) Et le thème encore plus.

(Pour L'opéra, je me suis baladé dans une direction qui m'amusait, et c'est clairement l'une des directions possibles, mais il y en a des tas d'autres. Finalement, c'est le meilleur critère de la qualité d'un jeu, la quantité de choses qu'on peut écrire avec...)

Ca donne envie d'écrire pour le jeu

Il y a des destins pires