CasusNO

• Dans les jours qui suivent, l’IGPN interroge Pierrick, Yasmine et Romain qui ont fait usage de leurs armes. C’est un peu plus compliqué pour Romain que pour les autres dans la mesure ou son fusil d’assaut était un prêt d’un contact au GIGN, mais Calka arrondit les angles.
  
• Quelques jours plus tard, Calka débarque au Treize, visiblement remonté, et montre une vidéo sur son ordinateur à Maxime et Pierrick (Yasmine et Romain sont encore hospitalisés).
  
• On y voit le prisonnier de Pierrick (l’homme tatoué) qui hurle dans sa cellule en se tordant de douleur et finit par s’écrouler mort au moment où les matons arrivent.
  
• Calka met la responsabilité de cette mort sur le Treize, mais Maxime s’emporte et remet (plus ou moins) le divisionnaire à sa place. “On est pas responsables de tous les événements bizarres de la capitale, et de toute façon, avec les moyens dont on dispose, on fait du mieux qu’on peut.”
  
• Une fois les humeurs un peu calmées, Pierrick explique à Maxime et Calka ce qu’il a vu dans les pensées du mort, et particulièrement le fait que Nelson et Vautour ne font sans doute qu’une seul et même ennemi. Ils s’engagent à enquêter au maximum dans cette direction.
  
• Une fois Calka parti, les deux officiers se font la réflexion qu’il est indispensable de mettre en place une cellule qui bloque la thaumaturgie comme mentionné dans les notes de Corbeau.
  

• Maxime et Pierrick mettent à profit le temps pour Yasmine et Romain de se remettre pour enquêter sur l’agression de Rachel Herfetz. Ils trouvent un témoin qui reconnait le portrait-robot de l’agresseur. Ils l’auraient vu 30mn après l’agression entrer dans le métro en titubant. Grâce aux caméras de surveillance, ils ont maintenant un visage. Ils font circuler l’image auprès des divers services et enclenchent une demande d’enquête pour le retrouver.
  
• Yasmine et Romain reviennent après leur congé de rétablissement.
  
• Célestin est retourné voir Mazarine* pour tenter de se rabibocher.
  
• Il est également rappelé par Cécile, la gérante de la galerie Contemporéanéité qui le courtisait et lui indique qu’une vente aux enchères privée d’un tableau de Pedzold va avoir lieu et qu’elle peut lui obtenir une invitation.
  
• Le Treize est informé par l’administration du Jardin des Plantes que la plaque menant au laboratoire d’Armand Viré, scellée après les événements du mois précédent, a été retrouvée ouverte, visiblement poussée par la force de lianes et de plantes sortant des murs de l’escalier.
  En récupérant les captures vidéo, le Treize aperçoit 4 des 5 fâcheux émerger du souterrain environ 48h après leur retour de la jungle. On distingue un chef, vieil homme hirsute ainsi que 3 petites frappes de banlieue.
  
• Calka informe le Treize que Corbeau se rétablit doucement mais n’est plus en état de réintégrer le Treize. Le divisionnaire organise un rendez-vous avec Corbeau dans sa chambre d’hôpital. Les officiers ont l’occasion de lui poser des questions :
  
• Il explique avoir disparu dans le Paris d’Antan pour échapper à Vautour/Nelson. Il se savait traqué, et sans doute pas à la hauteur pour contrer Vautour. Il ne pensait pas que survivre dans le Reflet serait aussi dur.
  
• « Au début de la 2° Guerre Mondiale, on était 7. On a été trahi par Vautour et tous les autres sont morts. »
  
• « A la fin de la guerre, Vautour a disparu sans laisser de trace »
  
• « Etienne Marcel était sur le coup pour défendre Paris contre Vautour. C’est un personnage clé du Monde Adjacent. »
  
• « Etienne Marcel l’aurait enfermé dans un Reflet et il aurait réussir à s’en échapper. »
  
• Ils l’interrogent sur Coulanges: « Il peut être un allié mais il faut s’en méfier ».
  
• Sur la marque sur la carte au niveau de St-Germain l’Auxerrois, Corbeau indique que le lampadaire parqué sur la carte est un « pivot », un locus très particulier. Toute magie qui y est effectuée peut s’étendre à tout Paris.
  

• 2 jours plus tard, alors que le Treize s’échine à comprendre la masse d’informations collectée et à relier les diverses pistes, ils reçoivent un appel de Nadia* :
  
• « J’ai un macchabée qui me parait suspect: Martial DESMARAIS, 27 ans, mort sur son bureau à l’Université (Institut Catholique de Paris). Il est mort d’asphyxie, sans strangulation. Aucune tendance suicidaire connue… »
  
• Une fois à l'IML, Maxime fait une lecture Thaumaturgique et repère des traces très légères mais non spécifiques
  

Sammael99 a écrit : ↑mar. oct. 01, 2024 11:43 am

• Sur la marque sur la carte au niveau de St-Germain l’Auxerrois, Corbeau indique que le lampadaire parqué sur la carte est un « pivot », un locus très particulier. Toute magie qui y est effectuée peut s’étendre à tout Paris.
  
  

Sammael99 a écrit : ↑mar. oct. 01, 2024 11:44 am (Petite note pour les joueurs, je reste stupéfait que vous n'ayez rien fait de la révélation pourtant majeure du dernier point de la séance 4.4. Imaginez à quoi ça aurait pu vous servir...)

Vociférator a écrit : ↑mar. oct. 01, 2024 4:50 pm "Pierrick a un crush sur Nadia

Vociférator a écrit : ↑dim. nov. 03, 2024 3:50 pm ben alors M. @Sammael99 on est où pour la suite des CR ?

• Affaire Rachel Herfetz – Coup de fil au commissariat de Bonne Nouvelle, pas de retour sur le portrait-robot diffusé
  
• Réception du rapport d’autopsie de Martial Desmarais, mort par asphyxie entre 22h et minuit, mais pas de noyade ou de strangulation – suspicion de l’implication de Vautour qui a un pouvoir sur les gaz
  
• Lancement d’une recherche sur les implantations de commissariat à Reims de 1919 à 1920. Lecaplin était affecté dans cette ville à cette période.
  
• Coup de fil de la DGSI – Lt Mehdi Bentallah – RV le 18 octobre
  

• Visite à l’épicerie puis au domicile de l’épicier décédé et nécrosé – questions à la veuve et recherches thaumaturgiques ne donnent rien
  
• A l’Institut Catholique de Paris – lieu de décès de Martial Desmarais
  
• Sujet de thèse : les reliques déplacées volées ou détruites en France sous la période révolutionnaire
  
• Directeur de thèse : Félicien Youfang – prêtre – spécialiste de théologie catholique et d’histoire des religions
  
• Fouille du bureau et piratage de l’ordinateur de Desmarais – récupération de ses données sur clé USB
  
• Examen images du système de surveillance, une séquence se répète entre 22h37 et 23h03
  
• Liste des reliques étudiées – manque un dossier : la tête de Richelieu, supposée volée en 1793, restituée et re inhumée à la Sorbonne en 1866 – le cénotaphe est vide
  
• Tête de Richelieu – plusieurs versions de son histoire – point commun : la tête est un artefact magique capable d’oracle
  
• Demande d’accès aux images des autres caméras de la rue : à l’heure supposée du meurtre, une Tesla, deux personnes dont une corpulente (Vautour ?)
  

• Courriers de Félicien Youfang lui demandant d’inclure la Tête de Richelieu dans la liste des reliques à étudier – contradiction avec ses déclarations
  

• Interrogatoire de Youfang avec techniques thaumaturgiques (Pensées). Il résiste, c'est donc sans doute un praticien. 
  
• Confronté, il se confesse
  
• Appartenance à un groupe d’initiés catholiques, les Sacratissimes
  
• A orienté les recherches de Desmarais pour retrouver la relique dans le cadre d’une lutte d’influence entre groupes d’initiés
  
• Le praticien qui a tué a Desmarais a pour signature une odeur de glaise mouillée
  

• Bentallah essaie de savoir si les enquêteurs du treize pourraient être des atouts pour le SCRT
  
• Maxime explique à l’officier du renseignement que le Treize est chargé de zététique : “l’étude rationnelle des phénomènes présentés comme paranormaux, des pseudosciences et des thérapies étranges …” En d’autres termes, il ne confirme en rien les rumeurs selon lesquelles le Treize aurait lui-même des capacités “surnaturelles”.
  
• Concernant l’affaire Herfetz, Bentallah leur confirme avoir identifié l’agresseur dont ils ont diffusé le portrait robot: il est sur les radars de la SCRT parcequ’il fréquente des milieux identitaires. Il s’appelle Etienne de Malmaison et est domicilié à Versailles.
  

• La vente a lieu à la Villa Clémentine, un hôtel particulier du 7ème arrondissement appartenant à la Comtesse de Maupensier.
  
• Le tableau est effectivement mis en vente et remporté par une rombière en fourrure.
  
• Célestin comprend vite que ce n’est pas la pièce maitresse de l’enchère. Il remarque au premier rang deux ecclésiastiques en col, et une femme qui semble très assurée, vêtue d’un costume blanc.
  
• Il est assis à côté d’une femme d’origine maghrébine qui travaille semble-t’il pour la comtesse. Elle ne semble pas vouloir engager la conversation.
  
• Le clou du spectacle est mis aux enchères : c’est la Tête de Richelieu.
  
• Célestin interrompt ses collègues en plein match de Rugby en leur disant de rappliquer au plus vite. Il fait une lecture en utilisant le domaine des Artefacts et confirme que c’est bien un artefact, et que ses propriétés sont de dire une fois la vérité.
  
• La femme vêtue de blanc et les ecclésiastiques bataillent ferme pour emporter l’enchère, mais c’est finalement la femme qui a le dernier mot… à plus d’un million d’euros.
  
• Célestin se lève à la fin de l’enchère, montre sa carte de police, et indique qu’il réquisitionne la tête qui est une pièce à conviction dans une affaire de meurtre. A ce moment là, il est pris de vertiges et s’évanouit.
  

• A l’extérieur, le reste de la brigade arrive. Les gens commencent à sortir de l’hôtel particulier, et Maxime et Pierrick aperçoivent Théophile Coulanges qui sort lui-même. Alors qu’ils s’approchent, les deux ecclésiastiques interpellent Coulanges. “Vous savez qu’elle nous appartient de droit” dit l’un d’entre-eux.
  
• Coulanges s’apprête à répondre, mais Maxime utilise sa perception des Objets pour voir ce que contient la boite. Elle ne contient rien. “Cette boite est vide” déclare-t’il alors que Coulanges lui jette un regard courroucé.
  
• Les deux ecclésiatiques se mettent à courir pour rattraper les autres participants à l’enchère. Pierrick suit l’un d’entre eux et finit par lui ordonner de s’arrêter, ce qu’il ne fait que lorsqu’il est manifeste qu’il ne trouvera pas qui il cherche. Il s’appelle Ernest Meyer, et lorsque Pierrick lui demande s’il fait partie des Sacratissimes, il confirme du bout des lèvres, visiblement irrité.
  
• A l’intérieur, Yasmine se rue sur Célestin pour vérifier qu’il est en vie. Il revient à lui, et explique brièvement à sa collègue ce qu’il s’est passé. Il indique que la jeune femme maghrébine était assis à côté de lui.
  
• Yasmine, bientôt rejointe par Maxime, interroge cette dernière. Elle confirme avoir travaillé pour la Comtesse pour retrouver la Tête de Richelieu qui a été mise aux enchères. Elle s’appelle Karima Mansouri. Elle donne sa carte à Maxime, carte aux décorations ésotériques qui la présente comme détective privée.
  
• Au final, la femme qui a acheté la Tête a disparu, et l’artefact avec elle.